Gagnoa – La réhabilitation de la nationale reliant Yamoussoukro (centre), la capitale politique du pays, et la ville de Sinfra (centre-ouest), l’un des départements de la région de la Marahoué, a un goût d’inachevé, au regard de deux points très critiques de cette route qui n’ont pas été traités, a constaté, lundi, sur place l’AIP.
Ces deux points critiques non traités, véritable cauchemar pour les usagers de la route, se trouvent dans la sous-préfecture de Kononfla, précisément au niveau du campement Odiennékaman-Kouassikro et du village de Sanégourifla, localité située à une douzaine de kilomètres de Sinfra.
Le premier point critique concerne la construction d’un pont sur le passage d’une rivière à Odiennékaman, où une déviation provisoire créée au moment des travaux est toujours empruntée par les automobilistes et autres usagers de la route.
Quant au second point critique situé dans le village de Sanégourifla, entre huit poteaux électriques, la chaussée fortement dégradée présente de grands nids de poule. L’endroit n’a subi aucun traitement de la part de l’entreprise chargée des travaux SOROUBAT qui, là aussi, s’est contentée d’ouvrir une déviation en terre. Aucun engin de cette entreprise n’est visible depuis quelques semaines sur le terrain.
Depuis quelques mois, le gouvernement a engagé des travaux de réhabilitation des routes bitumées du pays fortement dégradées, en vue de faciliter la circulation et le transport des personnes et des marchandises.
ja/akn/ask
Ces deux points critiques non traités, véritable cauchemar pour les usagers de la route, se trouvent dans la sous-préfecture de Kononfla, précisément au niveau du campement Odiennékaman-Kouassikro et du village de Sanégourifla, localité située à une douzaine de kilomètres de Sinfra.
Le premier point critique concerne la construction d’un pont sur le passage d’une rivière à Odiennékaman, où une déviation provisoire créée au moment des travaux est toujours empruntée par les automobilistes et autres usagers de la route.
Quant au second point critique situé dans le village de Sanégourifla, entre huit poteaux électriques, la chaussée fortement dégradée présente de grands nids de poule. L’endroit n’a subi aucun traitement de la part de l’entreprise chargée des travaux SOROUBAT qui, là aussi, s’est contentée d’ouvrir une déviation en terre. Aucun engin de cette entreprise n’est visible depuis quelques semaines sur le terrain.
Depuis quelques mois, le gouvernement a engagé des travaux de réhabilitation des routes bitumées du pays fortement dégradées, en vue de faciliter la circulation et le transport des personnes et des marchandises.
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