Daloa - La directrice régionale du Centre-Ouest de l’agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), Tiendrebéogo Salamatou, a invité mardi, les fonctionnaires et autres salariés à s’investir dans des exploitations agricoles sous serre, afin de faire pousser à domicile des cultures bio qui soient de nature à améliorer la qualité des aliments qu’ils consomment.
Mme Salamatou qui expliquait les missions de sa structure dans le cadre de la conférence mensuelle des directeurs et chefs de services, a estimé qu’avec très peu de moyens, les citadins peuvent s’essayer en agriculture chez eux avec l’appui de sa structure, en faisant pousser sur leurs terrasses ou sur un coin de leurs jardins des plantes telles que des tomates, des salades, voire des concombres, pour garantir leur santé du fait d’une alimentation saine.
Car bien souvent, la production de certaines légumes dans nos villes, se pratique a-t-elle dit, dans des environnements pollués ou à partir de retenues d’eau porteuses de germes, pouvant contaminer les consommateurs.
S’agissant de la mission de l’ANADER, Mme Tiendreobégo Salamatou a indiqué qu’elle consiste à contribuer à l’amélioration des conditions de vie du monde rural par la professionnalisation des exploitants et des organisations professionnelles agricoles (OPA), à travers la conception et la mise en œuvre d’outils appropriés, de programmes adaptés pour assurer un développement durable et maîtrisé.
En matière de production durable du cacao, la Directrice régionale de l’ANADER, a fait état du programme d’amélioration de la productivité des vergers et de la qualité des produits, notamment dans le contexte de la lutte contre la maladie du swollen shut et la relance de la caféculture, menée de concert avec le ministère de l’Agriculture (MINAGRI), le Conseil du café-cacao, le fonds interprofessionnel pour la recherche sur le coton et l'anacarde (FIRCA) et le centre national de recherche agronomique (CNRA).
Elle a fait également mention du programme Conseil Agricole dédié aux producteurs de noix de cajou, démarré sous-forme de contrat avec le Conseil du coton-anacarde et le FIRCA, pour l’encadrement des producteurs à mettre sur le marché des produits de qualité etc.
Concernant les difficultés, la direction du centre-ouest de l’ANADER qui couvre trois régions, à savoir le Haut-Sassandra, la Marahoué et le Worodougou composées de neuf départements, est confrontée selon sa première responsable, ces deux dernières années, à une série d’agressions et de vols à mains armées contre son siège de Daloa et pendant différentes missions de travail.
yy/akn/ask
Mme Salamatou qui expliquait les missions de sa structure dans le cadre de la conférence mensuelle des directeurs et chefs de services, a estimé qu’avec très peu de moyens, les citadins peuvent s’essayer en agriculture chez eux avec l’appui de sa structure, en faisant pousser sur leurs terrasses ou sur un coin de leurs jardins des plantes telles que des tomates, des salades, voire des concombres, pour garantir leur santé du fait d’une alimentation saine.
Car bien souvent, la production de certaines légumes dans nos villes, se pratique a-t-elle dit, dans des environnements pollués ou à partir de retenues d’eau porteuses de germes, pouvant contaminer les consommateurs.
S’agissant de la mission de l’ANADER, Mme Tiendreobégo Salamatou a indiqué qu’elle consiste à contribuer à l’amélioration des conditions de vie du monde rural par la professionnalisation des exploitants et des organisations professionnelles agricoles (OPA), à travers la conception et la mise en œuvre d’outils appropriés, de programmes adaptés pour assurer un développement durable et maîtrisé.
En matière de production durable du cacao, la Directrice régionale de l’ANADER, a fait état du programme d’amélioration de la productivité des vergers et de la qualité des produits, notamment dans le contexte de la lutte contre la maladie du swollen shut et la relance de la caféculture, menée de concert avec le ministère de l’Agriculture (MINAGRI), le Conseil du café-cacao, le fonds interprofessionnel pour la recherche sur le coton et l'anacarde (FIRCA) et le centre national de recherche agronomique (CNRA).
Elle a fait également mention du programme Conseil Agricole dédié aux producteurs de noix de cajou, démarré sous-forme de contrat avec le Conseil du coton-anacarde et le FIRCA, pour l’encadrement des producteurs à mettre sur le marché des produits de qualité etc.
Concernant les difficultés, la direction du centre-ouest de l’ANADER qui couvre trois régions, à savoir le Haut-Sassandra, la Marahoué et le Worodougou composées de neuf départements, est confrontée selon sa première responsable, ces deux dernières années, à une série d’agressions et de vols à mains armées contre son siège de Daloa et pendant différentes missions de travail.
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