Si en théorie les gares de taxis communaux communément appelés woro-woro sont fermées, sur le terrain, les activités se déroulent comme d'habitude.
Le lundi, 11 mai 2015, nous avons fait un tour dans la commune du maire N'Gouan Aka Mathias. Le constat est que les woro-woro sont bien présents dans la circulation. « Nous travaillons, il n'y a pas de problème. Les palabres c'est entre la mairie et les syndicats, nous n' avons rien à y voir », a souligné un chauffeur, à bord de son taxi, que nous avons interrogé aux feux (tricolore), au carrefour de l'École nationale d'administration (Ena). Notre interlocuteur a ajouté que les syndicats lui ont fait payer la taxe quotidienne. « Ils sont là, ils nous obligent à payer leur ticket. On va faire comment ? », a-t-il... suite de l'article sur Soir Info
Le lundi, 11 mai 2015, nous avons fait un tour dans la commune du maire N'Gouan Aka Mathias. Le constat est que les woro-woro sont bien présents dans la circulation. « Nous travaillons, il n'y a pas de problème. Les palabres c'est entre la mairie et les syndicats, nous n' avons rien à y voir », a souligné un chauffeur, à bord de son taxi, que nous avons interrogé aux feux (tricolore), au carrefour de l'École nationale d'administration (Ena). Notre interlocuteur a ajouté que les syndicats lui ont fait payer la taxe quotidienne. « Ils sont là, ils nous obligent à payer leur ticket. On va faire comment ? », a-t-il... suite de l'article sur Soir Info