Vavoua - Le sous-préfet de Vavoua, Vakaba Koné, s’est rendu samedi, à Baoulifla, pour appeler la population burkinabé au calme après le meurtre d’une des leurs, Zongo Marceline, par le présumé Lago David dit Adjamé.
M. Koné a conseillé aux parents de la victime qui s’étaient soulevés et lancé un ultimatum de cinq jours aux autochtones Sokua de ce village pour retrouver leur fils présumé coupable, de faire confiance à la gendarmerie dont les enquêtes sont en cours.
Dame Zongo Marceline a été lâchement abattue à son domicile de Baoulifla d’une balle de kalachnikov prise en pleine poitrine, par une personne encagoulée. Des témoignages concordants ont fait état de ce que le présumé Lago David aurait été aperçu couvert de sang et qu’il aurait même confié à des amis que "tout était gâté et qu’il quittait le village".
Les premiers indices de la gendarmerie révèlent que l’identité de l’assassin a été connue grâce à son téléphone portable retrouvé sur le lieu du crime. D’autres témoignages révèlent que Lago serait un bandit de grand chemin dans ce village.
sk/fmo/akn/kam
M. Koné a conseillé aux parents de la victime qui s’étaient soulevés et lancé un ultimatum de cinq jours aux autochtones Sokua de ce village pour retrouver leur fils présumé coupable, de faire confiance à la gendarmerie dont les enquêtes sont en cours.
Dame Zongo Marceline a été lâchement abattue à son domicile de Baoulifla d’une balle de kalachnikov prise en pleine poitrine, par une personne encagoulée. Des témoignages concordants ont fait état de ce que le présumé Lago David aurait été aperçu couvert de sang et qu’il aurait même confié à des amis que "tout était gâté et qu’il quittait le village".
Les premiers indices de la gendarmerie révèlent que l’identité de l’assassin a été connue grâce à son téléphone portable retrouvé sur le lieu du crime. D’autres témoignages révèlent que Lago serait un bandit de grand chemin dans ce village.
sk/fmo/akn/kam