Abidjan - Dans le cadre du projet de renforcement du droit des victimes aux réparations en Cote d’Ivoire financé par l’Union Européenne, le centre international pour la justice transitionnelle (Ictj) a organisé, mercredi, une réunion de haut niveau sur le thème : "quelles réparations pour les victimes des crises survenues en Cote d’ivoire" en vue de l’indemnisation de ces victimes, à l’espace Latrille Events de cocody.
Cette conférence organisée en partenariat avec la Commission Nationale pour la Réconciliation et l’indemnisation des victimes des crises survenues en Cote d’Ivoire(Conariv) vise à établir un dialogue entre les décideurs politiques, les organisations de la société civile et les partenaires internationaux sur les questions de réparation.
Selon le chef de mission-Abidjan de l’ICTJ, Suma Mohamed, la création de cette nouvelle commission fait montre de la volonté du gouvernement de réparer toutes les victimes de ces crises qui ont secoué le pays pendant cette décennie.
"ICTJ s’est engagé du côté de l’état pour mener à bien ce processus de réparation des victimes en vue d’une réconciliation véritable des ivoiriens", a-t-il indiqué.
La représentante des victimes, Sara Sanogo a pour sa part, énuméré trois types de violation notamment les violations sexuelles et physiques, neutres et les disparitions.
Elle a suggéré que ces types de violation soient prioritaires dans la réparation car selon elle, le code civil ivoirien oblige à la réparation.
mk/akn/kam
Cette conférence organisée en partenariat avec la Commission Nationale pour la Réconciliation et l’indemnisation des victimes des crises survenues en Cote d’Ivoire(Conariv) vise à établir un dialogue entre les décideurs politiques, les organisations de la société civile et les partenaires internationaux sur les questions de réparation.
Selon le chef de mission-Abidjan de l’ICTJ, Suma Mohamed, la création de cette nouvelle commission fait montre de la volonté du gouvernement de réparer toutes les victimes de ces crises qui ont secoué le pays pendant cette décennie.
"ICTJ s’est engagé du côté de l’état pour mener à bien ce processus de réparation des victimes en vue d’une réconciliation véritable des ivoiriens", a-t-il indiqué.
La représentante des victimes, Sara Sanogo a pour sa part, énuméré trois types de violation notamment les violations sexuelles et physiques, neutres et les disparitions.
Elle a suggéré que ces types de violation soient prioritaires dans la réparation car selon elle, le code civil ivoirien oblige à la réparation.
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