Le Forum mondial sur l'éducation qui s'est déroulé cette semaine à Incheon, en République de Corée, a adopté jeudi une déclaration dans laquelle il encourage les pays à fournir une éducation ouverte à tous, équitable et de qualité ainsi que des possibilités d'apprentissage pour tous tout au long de la vie.
"Cette déclaration est un énorme pas en avant", a déclaré la Directrice générale de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), Irina Bokova, cité par un communiqué. "Elle reflète notre détermination à veiller à ce que tous les enfants et les jeunes puissent acquérir les connaissances et les compétences dont ils ont besoin pour vivre dans la dignité, réaliser leur potentiel et contribuer à leurs sociétés en tant que citoyens du monde responsables".
La Déclaration d'Incheon se fonde sur l'initiative "l'Education pour tous" qui a été lancée à Jomtien en Thaïlande en 1990 et réaffirmée à Dakar, au Sénégal en 2000. Cette initiative a donné lieu à des progrès importants, mais beaucoup de ses objectifs, y compris l'accès universel à l'enseignement primaire, sont restées lettre morte.
Actuellement, 58 millions d'enfants ne sont pas scolarisés, la plupart étant des filles. En outre, 250 millions d'enfants n'apprennent pas les connaissances de base, même si la moitié d'entre eux ont passé au moins quatre ans à l'école.
La Déclaration d'Incheon s'inscrit dans le cadre des efforts de la communauté internationale pour définir des objectifs de développement durable pour l'après-2015, alors que les Objectifs du Millénaire pour le développement arrivent à échéance.
La Déclaration d'Incheon sera appliquée à travers le Cadre d'action pour l'éducation 2030, une feuille de route pour les gouvernements à adopter d'ici la fin de l'année. Selon l'UNESCO, la mise en œuvre effective de ce cadre nécessitera une forte coordination régionale et un suivi et une évaluation rigoureuse. Il faudra aussi plus de financement, en particulier pour les pays qui ont le plus de mal à fournir une éducation inclusive et de qualité.
Le Forum était organisé par l'UNESCO et le gouvernement sud-coréen et a réuni des centaines de représentants de gouvernements, d'organisations gouvernementales et de la société civile.
"Cette déclaration est un énorme pas en avant", a déclaré la Directrice générale de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), Irina Bokova, cité par un communiqué. "Elle reflète notre détermination à veiller à ce que tous les enfants et les jeunes puissent acquérir les connaissances et les compétences dont ils ont besoin pour vivre dans la dignité, réaliser leur potentiel et contribuer à leurs sociétés en tant que citoyens du monde responsables".
La Déclaration d'Incheon se fonde sur l'initiative "l'Education pour tous" qui a été lancée à Jomtien en Thaïlande en 1990 et réaffirmée à Dakar, au Sénégal en 2000. Cette initiative a donné lieu à des progrès importants, mais beaucoup de ses objectifs, y compris l'accès universel à l'enseignement primaire, sont restées lettre morte.
Actuellement, 58 millions d'enfants ne sont pas scolarisés, la plupart étant des filles. En outre, 250 millions d'enfants n'apprennent pas les connaissances de base, même si la moitié d'entre eux ont passé au moins quatre ans à l'école.
La Déclaration d'Incheon s'inscrit dans le cadre des efforts de la communauté internationale pour définir des objectifs de développement durable pour l'après-2015, alors que les Objectifs du Millénaire pour le développement arrivent à échéance.
La Déclaration d'Incheon sera appliquée à travers le Cadre d'action pour l'éducation 2030, une feuille de route pour les gouvernements à adopter d'ici la fin de l'année. Selon l'UNESCO, la mise en œuvre effective de ce cadre nécessitera une forte coordination régionale et un suivi et une évaluation rigoureuse. Il faudra aussi plus de financement, en particulier pour les pays qui ont le plus de mal à fournir une éducation inclusive et de qualité.
Le Forum était organisé par l'UNESCO et le gouvernement sud-coréen et a réuni des centaines de représentants de gouvernements, d'organisations gouvernementales et de la société civile.