Séguélon - Quelque 15 000 personnes sont attendues samedi, à la place connexe à la préfecture de Séguélon (Nord-Ouest) pour prendre part au meeting du Président Alassane Ouattara, qui a entamé depuis, mercredi, une visite d’Etat dans le district de Denguélé.
"La ville de Séguélon, elle-même, fait 4000 habitants, je suppose que sur 4000, si j’enlève 1000, j’aurai 3000 habitants et j’ai fait une petite estimation à raison de 300 ou 400 personnes par village, je suis à 15 000 sur 25703. Je me dis que je pourrai mobiliser environ 15 000 personnes si Dieu le veut", a confié jeudi à l’AIP le préfet de département de Séguélon, Nanou Benjamin.
Selon lui, l’accueil des populations de sa localité à l’endroit du chef de l’Etat s’annonce "digne, exemplaire et chaleureux", qualifiant cette visite d’historique pour les "Séguélonka" qui attendent des réponses additionnelles à leurs préoccupations.
"Nous attendons beaucoup de cette visite. La population est prête à témoigner son indéfectible attachement à la personne du Chef de l’Etat. Et je pense que samedi, nous allons le démontrer par notre forte mobilisation", a indiqué le préfet mentionnant les acquis du département par le biais du Programme présidentiel d’urgence(PPU), ce qui, a-t-il relevé, constitue une source de motivation pour un "déferlement massif des populations pour l’accueil du Président".
Se félicitant de la décision du Chef de l’Etat de visiter cette localité, il a traduit par ailleurs, la reconnaissance de ses administrés à l’endroit du premier citoyen ivoirien.
"Je voudrais profiter de votre lucarne pour d’abord remercier le chef de l’Etat qui a bien voulu accepter de venir à Séguélon. En acceptant, il démontre qu’il est vraiment le père de tout le monde et un père ne saurait créer l’injustice entre ses fils. Et la population avec à sa tête la chefferie, me charge de lui dire merci, pour tout ce qu’il a fait pour le développement de notre département", a indiqué M. Nanou.
Avant son arrivée à Séguélon samedi, le chef de l’Etat a rencontré, jeudi, les populations de Minignan et Kaniasso dans la région du Folon et aura le quatrième et cinquième meeting à Gbéléban et à Samatiguila dans la région du Kabadougou.
(AIP)
gak/akn/kam
"La ville de Séguélon, elle-même, fait 4000 habitants, je suppose que sur 4000, si j’enlève 1000, j’aurai 3000 habitants et j’ai fait une petite estimation à raison de 300 ou 400 personnes par village, je suis à 15 000 sur 25703. Je me dis que je pourrai mobiliser environ 15 000 personnes si Dieu le veut", a confié jeudi à l’AIP le préfet de département de Séguélon, Nanou Benjamin.
Selon lui, l’accueil des populations de sa localité à l’endroit du chef de l’Etat s’annonce "digne, exemplaire et chaleureux", qualifiant cette visite d’historique pour les "Séguélonka" qui attendent des réponses additionnelles à leurs préoccupations.
"Nous attendons beaucoup de cette visite. La population est prête à témoigner son indéfectible attachement à la personne du Chef de l’Etat. Et je pense que samedi, nous allons le démontrer par notre forte mobilisation", a indiqué le préfet mentionnant les acquis du département par le biais du Programme présidentiel d’urgence(PPU), ce qui, a-t-il relevé, constitue une source de motivation pour un "déferlement massif des populations pour l’accueil du Président".
Se félicitant de la décision du Chef de l’Etat de visiter cette localité, il a traduit par ailleurs, la reconnaissance de ses administrés à l’endroit du premier citoyen ivoirien.
"Je voudrais profiter de votre lucarne pour d’abord remercier le chef de l’Etat qui a bien voulu accepter de venir à Séguélon. En acceptant, il démontre qu’il est vraiment le père de tout le monde et un père ne saurait créer l’injustice entre ses fils. Et la population avec à sa tête la chefferie, me charge de lui dire merci, pour tout ce qu’il a fait pour le développement de notre département", a indiqué M. Nanou.
Avant son arrivée à Séguélon samedi, le chef de l’Etat a rencontré, jeudi, les populations de Minignan et Kaniasso dans la région du Folon et aura le quatrième et cinquième meeting à Gbéléban et à Samatiguila dans la région du Kabadougou.
(AIP)
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