Odienné - Le ministre d'Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, a félicité dimanche le corps préfectoral du Denguélé pour la "parfaite" organisation mise en place qui a conféré un franc succès à la visite d’Etat du Président de la République, Alassane Ouattara, dans ce district.
Le ministre de l’Intérieur rencontrait, au dernier jour de la visite du chef de l’Etat dans le Denguélé, avant le meeting final, ses collaborateurs, dans sa résidence à Odiénné.
"Je veux vous dire félicitation au nom de monsieur le Président de la République pour la parfaite organisation de cette visite", a-t-il lancé à l’ensemble préfets de département, secrétaires généraux et sous-préfets des régions du Kabadougou et du Folon (formant le district du Denguélé) venus à sa rencontre.
"La face visible des visites d’Etat, c’est les meetings mais on sait derrière tout le travail de coordination. Le Président de la République sait que quand tout se passe bien, c’est parce qu’il y a eu un gros travail derrière. Il vous félicite", a poursuivi le ministre Hamed Bakayoko, retenant le fait de n’avoir pas eu à intervenir personnellement comme à certains endroits.
"Dans certaines régions, il fallait toujours arbitrer entre les ministres entre les ministres, les cadres de la région, les préfets parce que la coordination se passe mal. Ici, tout s’est passé dans de bonnes conditions, je voudrais vous féliciter", a-t-il réitéré
M. Bakayoko a traduit par ailleurs aux autorités préfectorales du Dengulé la "pleine satisfaction" du Chef de l’Etat quant à la manière dont elles tiennent en général leur circonscription.
"Je ne le dis pas pour vous faire plaisir parce qu’il y a des endroits où nous avons dit qu’il y avait des problèmes", a dit Hamed Bakayoko, avant de relever le professionnalisme de ses collaborateurs du Denguélé notamment le fait qu’ils se gardent de trop interférer dans les querelles internes des populations locales.
"Des populations, dans certaines régions, saisissent le Président de la République de ce qu’il y avait une trop grande interférence des préfets sur certaines questions notamment les questions foncières. Mais ici, les populations nous ont dit +les préfets ce sont nos pères ils nous encadrent, ils nous aident+", a-t-il fait remarquer.
kg/cmas
Le ministre de l’Intérieur rencontrait, au dernier jour de la visite du chef de l’Etat dans le Denguélé, avant le meeting final, ses collaborateurs, dans sa résidence à Odiénné.
"Je veux vous dire félicitation au nom de monsieur le Président de la République pour la parfaite organisation de cette visite", a-t-il lancé à l’ensemble préfets de département, secrétaires généraux et sous-préfets des régions du Kabadougou et du Folon (formant le district du Denguélé) venus à sa rencontre.
"La face visible des visites d’Etat, c’est les meetings mais on sait derrière tout le travail de coordination. Le Président de la République sait que quand tout se passe bien, c’est parce qu’il y a eu un gros travail derrière. Il vous félicite", a poursuivi le ministre Hamed Bakayoko, retenant le fait de n’avoir pas eu à intervenir personnellement comme à certains endroits.
"Dans certaines régions, il fallait toujours arbitrer entre les ministres entre les ministres, les cadres de la région, les préfets parce que la coordination se passe mal. Ici, tout s’est passé dans de bonnes conditions, je voudrais vous féliciter", a-t-il réitéré
M. Bakayoko a traduit par ailleurs aux autorités préfectorales du Dengulé la "pleine satisfaction" du Chef de l’Etat quant à la manière dont elles tiennent en général leur circonscription.
"Je ne le dis pas pour vous faire plaisir parce qu’il y a des endroits où nous avons dit qu’il y avait des problèmes", a dit Hamed Bakayoko, avant de relever le professionnalisme de ses collaborateurs du Denguélé notamment le fait qu’ils se gardent de trop interférer dans les querelles internes des populations locales.
"Des populations, dans certaines régions, saisissent le Président de la République de ce qu’il y avait une trop grande interférence des préfets sur certaines questions notamment les questions foncières. Mais ici, les populations nous ont dit +les préfets ce sont nos pères ils nous encadrent, ils nous aident+", a-t-il fait remarquer.
kg/cmas