San Pedro – Le sous-préfet de Grand-Béréby (Sud-Ouest), Koné Kapié, a sollicité l’aide des agents du Conseil du café-cacao (CCC) et de l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), afin qu’ils attirent l’attention des planteurs sur les conséquences des pratiques de mise en location de leurs plantations contre de modiques sommes, provoquant ainsi de fréquents conflits que son administration est obligée de régler au quotidien.
Konaté Kapié a expliqué que fréquemment, dans sa circonscription administrative, des planteurs en difficulté d’argent mettent en location leur plantation pour une certaine durée à une personne qui en retour leur "donne une somme forfaitaire, insignifiante par rapport à la durée de l’exploitation du champ".
Selon lui le propriétaire du champ n’ayant plus à la longue de revenu, "il est souvent tenté d’aller voler la production dans le champ qui a été mis en garantie", ce qui entraîne régulièrement des disputes entre le propriétaire et celui à qui il a loué son champ.
Aux agents du CCC et de l'ANADER, souvent en contact avec le monde paysan, le sous-préfet a demandé qu’ils donnent fréquemment des conseils aux planteurs pour qu’ils arrêtent cette pratique qui les ruine et met à mal la cohésion sociale.
Le sous-préfet, Koné Kapié a décrié ce phénomène mardi à Grand-Béréby, au cours de la cérémonie de lancement de la distribution des produits phytosanitaires aux planteurs de café-cacao des régions de San Pedro et du Gbôklè.
jmk/ask
Konaté Kapié a expliqué que fréquemment, dans sa circonscription administrative, des planteurs en difficulté d’argent mettent en location leur plantation pour une certaine durée à une personne qui en retour leur "donne une somme forfaitaire, insignifiante par rapport à la durée de l’exploitation du champ".
Selon lui le propriétaire du champ n’ayant plus à la longue de revenu, "il est souvent tenté d’aller voler la production dans le champ qui a été mis en garantie", ce qui entraîne régulièrement des disputes entre le propriétaire et celui à qui il a loué son champ.
Aux agents du CCC et de l'ANADER, souvent en contact avec le monde paysan, le sous-préfet a demandé qu’ils donnent fréquemment des conseils aux planteurs pour qu’ils arrêtent cette pratique qui les ruine et met à mal la cohésion sociale.
Le sous-préfet, Koné Kapié a décrié ce phénomène mardi à Grand-Béréby, au cours de la cérémonie de lancement de la distribution des produits phytosanitaires aux planteurs de café-cacao des régions de San Pedro et du Gbôklè.
jmk/ask