Ferkessédougou - Le sous-préfet, Kouadio Séraphin, a appelé mercredi, les populations à faire du karité sauvage une culture de rente, au cours d’un atelier de réflexion tenu au centre monseigneur Wolf, destiné à trouver les voies et moyens d’optimiser la capacité de production en baisse dans le nord du pays.
« C’est une réflexion que nous soumettons à tous, pour préserver la source d’approvisionnement », a lancé le sous-préfet, invitant les populations à l’élaboration d’une charte en vue de la mise en place de la plateforme de la filière karité dans le district des savanes.
Kouadio Séraphin a incité, pour cette fin, ses administrés à faire de l’agro-industrie, s’inspirant de l’expérience burkinabé qui, vu la similitude du climat, peut aussi réussir au Nord de la Côte d’Ivoire.
Pour lui, cet appel est mû par un fait dont il a été témoin. Un opérateur économique européen voulait 1500 tonnes de karité cette année. Mais les acteurs de la filière ont été incapables de le satisfaire, laissant passer « un marché juteux sous leur nez », preuve de l’insuffisance de la production dans la région, a-t-il relaté.
ti/ar/fmo/akn/tm
« C’est une réflexion que nous soumettons à tous, pour préserver la source d’approvisionnement », a lancé le sous-préfet, invitant les populations à l’élaboration d’une charte en vue de la mise en place de la plateforme de la filière karité dans le district des savanes.
Kouadio Séraphin a incité, pour cette fin, ses administrés à faire de l’agro-industrie, s’inspirant de l’expérience burkinabé qui, vu la similitude du climat, peut aussi réussir au Nord de la Côte d’Ivoire.
Pour lui, cet appel est mû par un fait dont il a été témoin. Un opérateur économique européen voulait 1500 tonnes de karité cette année. Mais les acteurs de la filière ont été incapables de le satisfaire, laissant passer « un marché juteux sous leur nez », preuve de l’insuffisance de la production dans la région, a-t-il relaté.
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