La maison de la presse au Plateau a servi de cadre le jeudi 9 juillet 2015 à la dédicace ‘’Du journalisme en Côte d’Ivoire’’ un livre co-écrit par Zio Moussa, président de l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (Olped) et du Père Francis Barbey, directeur de l’Institut supérieur de communication (Iscom) de l’Ucao.
C’est un livre 152 pages qui traite de la responsabilité sociétale du journaliste. Cette œuvre est une véritable aubaine pour les hommes de presse. Le livre, ‘’Du journalisme en Côte d’Ivoire’’ n’est pas une simple analyse du journalisme. Mais, il interroge sur le rôle des journalistes dans la mise en place ‘’ d’un vivre ensemble’’. Les co-auteurs le Père Francis Barbey et Zio Moussa évoquent dans leur ouvrage un ‘’journalisme citoyen’’, permettant aux individus de devenir des citoyens à part entière. Toute chose qui donne l’occasion aux personnes sociales aptes à décider de leur choix de vie, de leur orientation sociale, politique et de sortir du conformisme ou de toutes tentatives de manipulation.
« Métier nommé passion, et passion faite métier, le journalisme est l’une des professions les plus dangereuses au monde. De cet fait, nous devons apprendre aux générations d’aujourd’hui, que bien avant d’être noble, ce métier est difficile », a dit Zio Moussa. Et de poursuivre : « La nécessité pour le journaliste, de se faire former et d’être cultivé ». Avant de rappeler à l’auditoire, que ce livre a été écrit sous l’impulsion du Père Francis Barbey. Zio Moussa a affirmé que l’ouvrage ‘’Du journalisme en Côte d’Ivoire’’ critique le journaliste, mais aussi fait des propositions pour avoir une presse mûre et responsable.
Quant au Père Francis Barbey, co-auteur de l’ouvrage, il a souligné que le journalisme en Côte d’Ivoire n’a pas une grande histoire. Pour lui, la population est assez exigeante vis-à-vis du journaliste. C’est pourquoi « dans le livre, nous apportons des suggestions pouvant aider à professionnaliser le domaine mais, surtout à participer au développement de notre pays. Notre société a besoin de journalistes capables de l’apaiser et la rendre meilleure ».
A la question de savoir quel rôle doit jouer la presse en cette période électorale, le Père Francis Barbey a soutenu que le journaliste doit être citoyen.
A l’instar des co-auteurs, Agnès Kraidy, journaliste, a bien voulu exprimer sa grande gratitude aux écrivains pour leur apport au métier. « Ce type d’initiative honore la profession parce que les journalistes sont des acteurs-clés dans notre environnement, dans le sens où ils participent au maintien de la démocratie », a-t-elle expliqué.
BM
C’est un livre 152 pages qui traite de la responsabilité sociétale du journaliste. Cette œuvre est une véritable aubaine pour les hommes de presse. Le livre, ‘’Du journalisme en Côte d’Ivoire’’ n’est pas une simple analyse du journalisme. Mais, il interroge sur le rôle des journalistes dans la mise en place ‘’ d’un vivre ensemble’’. Les co-auteurs le Père Francis Barbey et Zio Moussa évoquent dans leur ouvrage un ‘’journalisme citoyen’’, permettant aux individus de devenir des citoyens à part entière. Toute chose qui donne l’occasion aux personnes sociales aptes à décider de leur choix de vie, de leur orientation sociale, politique et de sortir du conformisme ou de toutes tentatives de manipulation.
« Métier nommé passion, et passion faite métier, le journalisme est l’une des professions les plus dangereuses au monde. De cet fait, nous devons apprendre aux générations d’aujourd’hui, que bien avant d’être noble, ce métier est difficile », a dit Zio Moussa. Et de poursuivre : « La nécessité pour le journaliste, de se faire former et d’être cultivé ». Avant de rappeler à l’auditoire, que ce livre a été écrit sous l’impulsion du Père Francis Barbey. Zio Moussa a affirmé que l’ouvrage ‘’Du journalisme en Côte d’Ivoire’’ critique le journaliste, mais aussi fait des propositions pour avoir une presse mûre et responsable.
Quant au Père Francis Barbey, co-auteur de l’ouvrage, il a souligné que le journalisme en Côte d’Ivoire n’a pas une grande histoire. Pour lui, la population est assez exigeante vis-à-vis du journaliste. C’est pourquoi « dans le livre, nous apportons des suggestions pouvant aider à professionnaliser le domaine mais, surtout à participer au développement de notre pays. Notre société a besoin de journalistes capables de l’apaiser et la rendre meilleure ».
A la question de savoir quel rôle doit jouer la presse en cette période électorale, le Père Francis Barbey a soutenu que le journaliste doit être citoyen.
A l’instar des co-auteurs, Agnès Kraidy, journaliste, a bien voulu exprimer sa grande gratitude aux écrivains pour leur apport au métier. « Ce type d’initiative honore la profession parce que les journalistes sont des acteurs-clés dans notre environnement, dans le sens où ils participent au maintien de la démocratie », a-t-elle expliqué.
BM