Agboville - L’œuvre intitulée "La légalisation d’une perversion", dénonçant le mariage homosexuel et qui se veut une réaction intellectuelle et spirituelle face au phénomène, a été présentée et dédicacée dimanche à Agboville, par l’auteur, Bazou Bernard, professeur de philosophie au lycée d’Agboville et responsable ecclésiastique.
"L’homosexualité est une perversion au regard de la parole de Dieu", a déclaré d’emblée l’auteur de l’ouvrage, rappelant que la première lettre aux Corinthiens en son chapitre7, indique que le mariage selon l’ordre établi par le Seigneur, est une union hétérogène et non homogène.
Selon lui, l’homosexualité n’est pas un nouveau phénomène, mais c’est la promotion qui est faite autour, par la légalisation et la justification au travers des médias notamment, qui posent problème.
M. Bazou dans son exposé liminaire, soutient que son œuvre combat les fondements argumentaires de trois positions distinctes.
La position de sociologues qui s’acharnent à défendre ce qu’ils appellent "le droit à l’identité" de l’homosexuel, puis l’attitude de juristes qui font la promotion d’un "prétendu droit à la différence", sur la base de la déclaration universelle des droits de l’homme.
L’œuvre combat également l’argument de ceux qui se réfèrent "maladroitement et superficiellement" à certaines conceptions philosophiques de la liberté pour montrer, que l’homosexuel est libre d’exprimer ses désirs.
Il invite l’Eglise, porteurs de l’Evangile, ainsi que les psychologues et psychanalystes (non homosexuels), qu’il considère comme les deux personnes-ressources qualifiées pour aider les homosexuels, à réagir soit par des approches personnelles, soit par des contacts individuels ou encore, par voies médiatiques.
"Notre réaction n’est qu’une invitation à trouver un cadre d’échanges, une plate-forme de réflexion, de propositions et d’initiatives pour sensibiliser les populations par les voies et moyens médiatiques, en comptant sur la grâce de dieu", précise l’auteur.
"La légalisation d’une perversion" est une œuvre de 54 pages, repartie en cinq chapitres, dont l’écriture s’est appuyée sur les informations relatives à des évènements concernant l’homosexualité, parmi les sujets brûlants de l’actualité mondiale des mois d’avril et mai 2013, rapporte l’avant-propos.
Il propose la restauration pour le salut de l’âme, par la prière et exhorte tous les enseignants et autres professionnels de l’éducation, ainsi que tous ceux qui ont la fibre éducative, à se tendre la main pour aider les "déviationnistes".
dd/kam
"L’homosexualité est une perversion au regard de la parole de Dieu", a déclaré d’emblée l’auteur de l’ouvrage, rappelant que la première lettre aux Corinthiens en son chapitre7, indique que le mariage selon l’ordre établi par le Seigneur, est une union hétérogène et non homogène.
Selon lui, l’homosexualité n’est pas un nouveau phénomène, mais c’est la promotion qui est faite autour, par la légalisation et la justification au travers des médias notamment, qui posent problème.
M. Bazou dans son exposé liminaire, soutient que son œuvre combat les fondements argumentaires de trois positions distinctes.
La position de sociologues qui s’acharnent à défendre ce qu’ils appellent "le droit à l’identité" de l’homosexuel, puis l’attitude de juristes qui font la promotion d’un "prétendu droit à la différence", sur la base de la déclaration universelle des droits de l’homme.
L’œuvre combat également l’argument de ceux qui se réfèrent "maladroitement et superficiellement" à certaines conceptions philosophiques de la liberté pour montrer, que l’homosexuel est libre d’exprimer ses désirs.
Il invite l’Eglise, porteurs de l’Evangile, ainsi que les psychologues et psychanalystes (non homosexuels), qu’il considère comme les deux personnes-ressources qualifiées pour aider les homosexuels, à réagir soit par des approches personnelles, soit par des contacts individuels ou encore, par voies médiatiques.
"Notre réaction n’est qu’une invitation à trouver un cadre d’échanges, une plate-forme de réflexion, de propositions et d’initiatives pour sensibiliser les populations par les voies et moyens médiatiques, en comptant sur la grâce de dieu", précise l’auteur.
"La légalisation d’une perversion" est une œuvre de 54 pages, repartie en cinq chapitres, dont l’écriture s’est appuyée sur les informations relatives à des évènements concernant l’homosexualité, parmi les sujets brûlants de l’actualité mondiale des mois d’avril et mai 2013, rapporte l’avant-propos.
Il propose la restauration pour le salut de l’âme, par la prière et exhorte tous les enseignants et autres professionnels de l’éducation, ainsi que tous ceux qui ont la fibre éducative, à se tendre la main pour aider les "déviationnistes".
dd/kam