Un officiel du Fonds Monétaire International (FMI) a déclaré que l'institution élargira l'accès à tous ses prêts de 50 %, et proposera plus de financements concessionnels pour les pays les plus pauvres et les plus vulnérables du monde.
Cette décision fait partie du soutien apporté par le FMI à l'Agenda de développement post-2015 conduit par les Nations Unies (ONU), a déclaré Zhu Min, directeur adjoint du FMI, au début de la conférence de l'ONU sur le financement pour le développement dans la capitale éthiopienne, Addis-Abeba.
L'Agenda de développement post-2015 a pour but d'aider à définir le futur cadre de développement mondial qui succèdera aux Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).
"Et nous maintiendrons pour le plus long terme le taux d'intérêt zéro pour nos Prêts de crédit rapides, pour les Etats et pays fragiles touchés par les catastrophes naturelles", a indiqué M. Zhu.
D'après les nouvelles propositions de financement, le FMI augmentera l'accès aux Fonds concessionnels à tous les pays éligibles au Fonds pour la croissance et la réduction de la pauvreté, rééquilibrera le mélange de financements concessionnels et non-concessionnels vers plus d'utilisation de ressources non- concessionnels, et augmentera l'accès aux ressources concessionnels et non-concessionnels pour les pays se trouvant dans des conditions fragiles.
Concrètement, le FMI renforcera le filet de sûreté des pays à faibles revenus, a expliqué M. Zhu.
Le FMI pense que les nouvelles propositions renforceront l'accès des Pays en voie de développement au soutien financier du FMI et apportera aux pays plus de flexibilité pour répondre aux besoins de la balance des paiements.
Quelques jours avant cette annonce, l'institution, avec des banques de développement multilatérales, a révélé le projet de débloquer plus de 400 milliards de dollars au cours des trois prochaines années pour soutenir l'agenda de développement post- 2015.
Il en faut plus pour répondre aux besoins des objectifs de développement durable, selon M. Zhu. Par exemple, le secteur des infrastructures dans les pays émergents et en voie de développement a besoin de 1,5 mille milliards de dollars de financement par an, a-t-il illustré.
"Dans le monde entier, le fléau de l'inégalité et de la justice demeure: plus d'un milliard de personnes continuent de vivre dans l'extrême pauvreté.... Pour avancer sur le chemin de la croissance durable et inclusive, nous devons être unis par les trois grands principes que sont le partenariat, l'engagement et la flexibilité", a-t-il ajouté.
Cette décision fait partie du soutien apporté par le FMI à l'Agenda de développement post-2015 conduit par les Nations Unies (ONU), a déclaré Zhu Min, directeur adjoint du FMI, au début de la conférence de l'ONU sur le financement pour le développement dans la capitale éthiopienne, Addis-Abeba.
L'Agenda de développement post-2015 a pour but d'aider à définir le futur cadre de développement mondial qui succèdera aux Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).
"Et nous maintiendrons pour le plus long terme le taux d'intérêt zéro pour nos Prêts de crédit rapides, pour les Etats et pays fragiles touchés par les catastrophes naturelles", a indiqué M. Zhu.
D'après les nouvelles propositions de financement, le FMI augmentera l'accès aux Fonds concessionnels à tous les pays éligibles au Fonds pour la croissance et la réduction de la pauvreté, rééquilibrera le mélange de financements concessionnels et non-concessionnels vers plus d'utilisation de ressources non- concessionnels, et augmentera l'accès aux ressources concessionnels et non-concessionnels pour les pays se trouvant dans des conditions fragiles.
Concrètement, le FMI renforcera le filet de sûreté des pays à faibles revenus, a expliqué M. Zhu.
Le FMI pense que les nouvelles propositions renforceront l'accès des Pays en voie de développement au soutien financier du FMI et apportera aux pays plus de flexibilité pour répondre aux besoins de la balance des paiements.
Quelques jours avant cette annonce, l'institution, avec des banques de développement multilatérales, a révélé le projet de débloquer plus de 400 milliards de dollars au cours des trois prochaines années pour soutenir l'agenda de développement post- 2015.
Il en faut plus pour répondre aux besoins des objectifs de développement durable, selon M. Zhu. Par exemple, le secteur des infrastructures dans les pays émergents et en voie de développement a besoin de 1,5 mille milliards de dollars de financement par an, a-t-il illustré.
"Dans le monde entier, le fléau de l'inégalité et de la justice demeure: plus d'un milliard de personnes continuent de vivre dans l'extrême pauvreté.... Pour avancer sur le chemin de la croissance durable et inclusive, nous devons être unis par les trois grands principes que sont le partenariat, l'engagement et la flexibilité", a-t-il ajouté.