Bouaké - Les autorités judiciaires ont procédé, jeudi à Bouaké, à l’ouverture solennelle de la Cour d’assise de l’année 2015 qui a compétence pour juger les grands criminels.
L’avocat général au parquet général près la Cour d’appel de Bouaké, Djimphié N’Guessan Fô, justifiant cette cérémonie, a indiqué qu’il est normal d’informer les populations de l’ouverture de la première session de la Cour d’assise de l’année parce qu’il s’agit d’une juridiction populaire différente des autres qui sont réservées aux magistrats professionnels.
Le procureur général près la Cour d’appel de Bouaké, Lébry Marie-Léonard, quant à lui, inscrit cette ouverture de la Cour d’assise dans la dynamique de la reprise totale des activités de l’appareil judiciaire dans toutes ses composantes au niveau de la région.
« Je demande à la population de venir assister à toutes les audiences. C’est très formateur sur le plan du Droit, mais sur le comportement social pour éviter de commettre des impairs et après se retrouver en prison », a-t-il lancé à l’endroit des Bouakois.
La première session de ces assises se déroulera jusqu’à la première semaine d’août avec 13 dossiers relatifs à des cas de meurtre, de tentative de meurtre, d'empoisonnement, de viols, de coups mortels et d'incendies volontaires à la propriété immobilière d’autrui. La deuxième session de cette année va se tenir en décembre et statuera sur les dossiers qui n’ont pu être programmés au cours de la première.
(AIP)
nbf/cmas
L’avocat général au parquet général près la Cour d’appel de Bouaké, Djimphié N’Guessan Fô, justifiant cette cérémonie, a indiqué qu’il est normal d’informer les populations de l’ouverture de la première session de la Cour d’assise de l’année parce qu’il s’agit d’une juridiction populaire différente des autres qui sont réservées aux magistrats professionnels.
Le procureur général près la Cour d’appel de Bouaké, Lébry Marie-Léonard, quant à lui, inscrit cette ouverture de la Cour d’assise dans la dynamique de la reprise totale des activités de l’appareil judiciaire dans toutes ses composantes au niveau de la région.
« Je demande à la population de venir assister à toutes les audiences. C’est très formateur sur le plan du Droit, mais sur le comportement social pour éviter de commettre des impairs et après se retrouver en prison », a-t-il lancé à l’endroit des Bouakois.
La première session de ces assises se déroulera jusqu’à la première semaine d’août avec 13 dossiers relatifs à des cas de meurtre, de tentative de meurtre, d'empoisonnement, de viols, de coups mortels et d'incendies volontaires à la propriété immobilière d’autrui. La deuxième session de cette année va se tenir en décembre et statuera sur les dossiers qui n’ont pu être programmés au cours de la première.
(AIP)
nbf/cmas