Agboville - Le préfet de région de l'Agnéby-Tiassa, Bako Privat demande au Conseil régional de beaucoup collaborer avec l'administration qu'il dirige.
"Je profite pour dire que nous sommes condamnés à être ensemble, afin que nos populations soient heureuses", a lancé Bako Privat, depuis la tribune de la deuxième session ordinaire du conseil régional, déplorant un "déficit" de collaboration entre cette collectivité et l’administration.
"Maintenons la flamme de la collaboration entre nous", a-t-il dit, s’adressant aux conseillers régionaux, à qui il a rappelé qu’il s’agit pour les deux entités d’être au même niveau d’information.
Bako Privat note qu’il s’agit d’un devoir pour l’administration préfectorale d’être aux côtés des élus municipaux et régionaux. "Nous sommes à votre disposition pour cela", a insisté le préfet de région, qui déplore le risque de faire perdre des programmes de développement et d’investissement aux populations, du fait du manque d’information.
Il a indiqué que c’est souvent au cours des réunions avec les autorités étatiques et autres bailleurs, qu’il est possible de décrocher des investissements. "Malheureusement", regrette le préfet, les premiers responsables des structures décentralisées sont souvent absents à ces rencontres.
Le préfet de région s’irrite de voir que le Conseil régional est souvent représenté par des fonctionnaires, qui n’ont pas de pouvoir de décision, contraignant les autorités et bailleurs à remettre à plus tard, la décision de soutenir des projets de développement dans la localité.
"C’est désolant, vu que nous qui sommes présents, ignorons parfois les détails des sujets que vous traitez ici", a fait savoir le représentant du Chef de l’Etat dans la région.
"Nous devons collaborer et nous allons collaborer pour le bonheur de nos populations", a promis le président du Conseil régional, Mbolo Martin.
dd/akn/ask
"Je profite pour dire que nous sommes condamnés à être ensemble, afin que nos populations soient heureuses", a lancé Bako Privat, depuis la tribune de la deuxième session ordinaire du conseil régional, déplorant un "déficit" de collaboration entre cette collectivité et l’administration.
"Maintenons la flamme de la collaboration entre nous", a-t-il dit, s’adressant aux conseillers régionaux, à qui il a rappelé qu’il s’agit pour les deux entités d’être au même niveau d’information.
Bako Privat note qu’il s’agit d’un devoir pour l’administration préfectorale d’être aux côtés des élus municipaux et régionaux. "Nous sommes à votre disposition pour cela", a insisté le préfet de région, qui déplore le risque de faire perdre des programmes de développement et d’investissement aux populations, du fait du manque d’information.
Il a indiqué que c’est souvent au cours des réunions avec les autorités étatiques et autres bailleurs, qu’il est possible de décrocher des investissements. "Malheureusement", regrette le préfet, les premiers responsables des structures décentralisées sont souvent absents à ces rencontres.
Le préfet de région s’irrite de voir que le Conseil régional est souvent représenté par des fonctionnaires, qui n’ont pas de pouvoir de décision, contraignant les autorités et bailleurs à remettre à plus tard, la décision de soutenir des projets de développement dans la localité.
"C’est désolant, vu que nous qui sommes présents, ignorons parfois les détails des sujets que vous traitez ici", a fait savoir le représentant du Chef de l’Etat dans la région.
"Nous devons collaborer et nous allons collaborer pour le bonheur de nos populations", a promis le président du Conseil régional, Mbolo Martin.
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