Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Tribunal ordonne un ’’ultime’’ renvoi au 3 août pour le ’’respect du droit à la défense’’, a déclaré, lundi, le magistrat Tahirou Dembélé, président du tribunal militaire d’Abidjan, suite à la demande formulée, dans un courrier, par Me Djirabou, avocat du prévenu le capitaine Anselme Séka Yapo dit Séka Séka, en ’’déplacement’’.
’’ Nous sommes presque au seuil de la procédure (...). Pour le respect du droit à la défense qui ne signifie pas qu’il faut faire du dilatoire, le tribunal va ordonner un ultime renvoi pour permettre à Me Djirabou d’être là et assurer la défense de son client’’, a précisé le président Dembélé.
A l’ouverture de l’audience, il avait lu un courrier du conseil du capitaine Séka Séka; Me Djirabou, toujours en ’’déplacement’’, sollicitant un autre renvoi pour lui ’’permettre d’assister pleinement et physiquement’’ son client.
Au prévenu Séka Séka, le juge Tahirou Dembélé a indiqué que son avocat ’’doit tout mettre en œuvre pour être présent le 3 août pour vous assister pour que nous connaissions enfin l’issue de ce procès car vous n’êtes pas le seul prévenu’’.
C’est la deuxième fois que la défense sollicite et obtient le renvoi pour cause d’absence de Me Djirabou.
Après l’audition des derniers témoins, notamment, Mory Sidibé, technicien à la morgue d’Anyama et l’épouse du ministre Joël N’guessan dont le garde de corps, Anselme Akaffou Yapo est la présumée victime du capitaine Séka Séka, les débats reprendront le 3 août par ’’ les derniers mots des prévenus, le réquisitoire du Parquet, les plaidoiries de la défense et si le temps nous le permet, le verdict du tribunal’’, a souligné le président du tribunal.
Le capitaine Séka Séka, ex-aide de camp de l’ancienne Première Dame, Simone Gbagbo, est poursuivi pour des faits de ’’ meurtre, coups et blessures, blanchiment d’argent et achat d’armes’’ quand huit autres officiers dont le Cdt Jean Noel Abéhi sont accusés de ’’violation de consignes et désertion’’ lors de la crise post-électorale de décembre 2010 à avril 2011.
HS/ls/APA
’’ Nous sommes presque au seuil de la procédure (...). Pour le respect du droit à la défense qui ne signifie pas qu’il faut faire du dilatoire, le tribunal va ordonner un ultime renvoi pour permettre à Me Djirabou d’être là et assurer la défense de son client’’, a précisé le président Dembélé.
A l’ouverture de l’audience, il avait lu un courrier du conseil du capitaine Séka Séka; Me Djirabou, toujours en ’’déplacement’’, sollicitant un autre renvoi pour lui ’’permettre d’assister pleinement et physiquement’’ son client.
Au prévenu Séka Séka, le juge Tahirou Dembélé a indiqué que son avocat ’’doit tout mettre en œuvre pour être présent le 3 août pour vous assister pour que nous connaissions enfin l’issue de ce procès car vous n’êtes pas le seul prévenu’’.
C’est la deuxième fois que la défense sollicite et obtient le renvoi pour cause d’absence de Me Djirabou.
Après l’audition des derniers témoins, notamment, Mory Sidibé, technicien à la morgue d’Anyama et l’épouse du ministre Joël N’guessan dont le garde de corps, Anselme Akaffou Yapo est la présumée victime du capitaine Séka Séka, les débats reprendront le 3 août par ’’ les derniers mots des prévenus, le réquisitoire du Parquet, les plaidoiries de la défense et si le temps nous le permet, le verdict du tribunal’’, a souligné le président du tribunal.
Le capitaine Séka Séka, ex-aide de camp de l’ancienne Première Dame, Simone Gbagbo, est poursuivi pour des faits de ’’ meurtre, coups et blessures, blanchiment d’argent et achat d’armes’’ quand huit autres officiers dont le Cdt Jean Noel Abéhi sont accusés de ’’violation de consignes et désertion’’ lors de la crise post-électorale de décembre 2010 à avril 2011.
HS/ls/APA