Kouadio Konan Bertin dit KKB est désormais candidat officiel à l’élection présidentielle d’octobre prochain. Hier, il a déposé sa candidature directement dans les mains du président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko. A sa sortie des bureaux de la CEI où il était attendu par une foule de sympathisants, il a appelé les Ivoiriens à s’approprier ces élections. «Ne laissez personne décider à votre place parce que nous devons faire quelque chose pour que le peuple cesse de vivre côte-à-côte, pour que notre peuple apprenne à nouveau à vivre ensemble», a-t-il lancé. Pour lui, le vote des Ivoiriens est d’autant plus important que les défis à relever sont nombreux.
Bien avant KKB, Mamadou Koulibaly, au volant de sa voiture, est arrivé à la CEI dans le même but : déposer sa candidature. Reçu par le président de la CEI, il a fourni toutes les pièces exigées. «Je dépose ma candidature et je remets en cause les bases de la CEI. Je ne suis pas satisfait de la liste électorale, je ne suis pas satisfait du code électoral et je ne suis pas satisfait de la composition de la Commission électorale, de l’utilisation que la Commission électorale laisse faire, sans se plaindre, des moyens d’Etat et des services publics par un candidat», a-t-il dénoncé. Il se propose de se battre, de manifester bruyamment à la Commission électorale, à la RTI jusqu’à obtenir de meilleures conditions pour une élection démocratique, inclusive et transparente. Cette bataille se fera par «des sit-in, des plaidoyers, des discussions franches avec le chef de l’Etat pour remettre à plat les institutions de ces élections, pour faire les corrections nécessaires».
Bruno Kouadio
Bien avant KKB, Mamadou Koulibaly, au volant de sa voiture, est arrivé à la CEI dans le même but : déposer sa candidature. Reçu par le président de la CEI, il a fourni toutes les pièces exigées. «Je dépose ma candidature et je remets en cause les bases de la CEI. Je ne suis pas satisfait de la liste électorale, je ne suis pas satisfait du code électoral et je ne suis pas satisfait de la composition de la Commission électorale, de l’utilisation que la Commission électorale laisse faire, sans se plaindre, des moyens d’Etat et des services publics par un candidat», a-t-il dénoncé. Il se propose de se battre, de manifester bruyamment à la Commission électorale, à la RTI jusqu’à obtenir de meilleures conditions pour une élection démocratique, inclusive et transparente. Cette bataille se fera par «des sit-in, des plaidoyers, des discussions franches avec le chef de l’Etat pour remettre à plat les institutions de ces élections, pour faire les corrections nécessaires».
Bruno Kouadio
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