Vavoua - Les gardes de la sous-préfecture de Vavoua, solidaires de leurs collègues de Bangolo (Région du Guémon), dont un collègue a été assassiné lors d’une mission, demandent de meilleures conditions de travail et l’application du décret de 1998 instituant le corps de la police préfectorale.
"A travers cette manifestation pacifique de solidarité à un collègue tué à Bangolo, nous voulons rappeler aux autorités du ministère de l’Intérieur que les gardes de sous-pr&ea cute;fecture ont été oubliés dans le cadre de l’amélioration de la grille salariale et des conditions de travail des fonctionnaires de Côte d’Ivoire", a déclaré leur porte-parole, le sergent-chef Alexis Lébahi.
Il a ajouté que c’est le seul corps paramilitaire dans lequel les grades évoluent en dehors du salaire.
D’ailleurs, a-t-il souligné, ces dernières années, tous les corps des fonctionnaires de la fonction publique ont vu leurs salaires améliorés sauf celui des gardes de sous-préfecture.
Ainsi, ces agents du ministère d’Etat, ministère de l’Intérieur et de la Sécurité souhaitent que le ministre d’Etat Ahmed Bakayoko intercède pour eux auprès du président de la République, Alassane Ouattara, afin que ce corps soit d&eacut e;sormais renommé "Police préfectorale" avec un concours d’entrée dans ce corps au niveau du BEPC, un salaire conséquent lié à l’évolution des grades et un profil de carrière clair.
Avec des bandeaux noirs attachés au bras, ces agents ont vécu mardi et mercredi, le deuil de leur collègue tué à bout portant dans une embuscade lors d’une mission à Bangolo.
sk/aaa/akn/ask
"A travers cette manifestation pacifique de solidarité à un collègue tué à Bangolo, nous voulons rappeler aux autorités du ministère de l’Intérieur que les gardes de sous-pr&ea cute;fecture ont été oubliés dans le cadre de l’amélioration de la grille salariale et des conditions de travail des fonctionnaires de Côte d’Ivoire", a déclaré leur porte-parole, le sergent-chef Alexis Lébahi.
Il a ajouté que c’est le seul corps paramilitaire dans lequel les grades évoluent en dehors du salaire.
D’ailleurs, a-t-il souligné, ces dernières années, tous les corps des fonctionnaires de la fonction publique ont vu leurs salaires améliorés sauf celui des gardes de sous-préfecture.
Ainsi, ces agents du ministère d’Etat, ministère de l’Intérieur et de la Sécurité souhaitent que le ministre d’Etat Ahmed Bakayoko intercède pour eux auprès du président de la République, Alassane Ouattara, afin que ce corps soit d&eacut e;sormais renommé "Police préfectorale" avec un concours d’entrée dans ce corps au niveau du BEPC, un salaire conséquent lié à l’évolution des grades et un profil de carrière clair.
Avec des bandeaux noirs attachés au bras, ces agents ont vécu mardi et mercredi, le deuil de leur collègue tué à bout portant dans une embuscade lors d’une mission à Bangolo.
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