Les candidats à la présidentielle prochaine réunis au sein de Coalition nationale pour le Changement (CNC) projette lune marche « pacifique » le 28 septembre devant les sièges respectifs de la Commission électorale indépendante (CEI) et la Radiodiffusion Télévision ivoirienne (RTI) à Abidjan.
L’objectif de cette manifestation est de réclamer des conditions sécuritaires durant les campagnes et pour la tenue du scrutin présidentiel, expliquent les candidats de la CNC que sont Charles Konan Banny, Kouadio Konan Bertin et Koulibaly Mamadou, au cours d’une conférence de presse qu’ils ont co-animée ce lundi.
Ils estiment, en effet, qu’il faut inéluctablement un accès sans favoritisme pour tous les candidats aux médias de services publics et surtout des reformes au niveau de la CEI pour qu’elle soit véritablement indépendante, mais aussi le financement pour tous les candidats.
« Le financement des candidats doit se faire de façon équitable et transparente, ce n’est pas le cas actuellement. Les candidats sont étouffés financièrement en violation des lois et de l’éthique » a indiqué Charles Konan Banny.
Après avoir tiré les leçons de la crise postélectorale de 2010, l’ex premier ministre a insisté sur le fait qu’il ne doit plus avoir de violence ni de perte en vies humaines autour de l’organisation du scrutin présidentiel.
« Nous n’avons pas d’armes à feu et nous ne souhaitons pas de violences, nous voulons des élections avec zéro mort » a-t-il souhaité.
Au nom de la CNC, il a demandé solennellement la recomposition de la CEI, la révision de ses attributions, son mode de fonctionnement et la remise en place du code électoral.
« Le mal profond de la CEI réside dans ses attributions, dans ses modalités de fonctionnement et ses relations avec les autres institutions de la République » a souligné S.E. Charles Konan Banny, se référant à la proclamation des résultats des dernières élections de 2010 par la CEI.
En l’absence du candidat Essy Amara qui s’est fait représenter par son porte-parole, le président du LIDER, M. Mamadou Coulibaly et l’Honorable Kouadio Konan Bertin ont ont appeler le pouvoir en place à un dialogue immédiat ouvert à tous les 10 prétendants au challenge de la magistrature suprême du 25 octobre prochain.
R. K
L’objectif de cette manifestation est de réclamer des conditions sécuritaires durant les campagnes et pour la tenue du scrutin présidentiel, expliquent les candidats de la CNC que sont Charles Konan Banny, Kouadio Konan Bertin et Koulibaly Mamadou, au cours d’une conférence de presse qu’ils ont co-animée ce lundi.
Ils estiment, en effet, qu’il faut inéluctablement un accès sans favoritisme pour tous les candidats aux médias de services publics et surtout des reformes au niveau de la CEI pour qu’elle soit véritablement indépendante, mais aussi le financement pour tous les candidats.
« Le financement des candidats doit se faire de façon équitable et transparente, ce n’est pas le cas actuellement. Les candidats sont étouffés financièrement en violation des lois et de l’éthique » a indiqué Charles Konan Banny.
Après avoir tiré les leçons de la crise postélectorale de 2010, l’ex premier ministre a insisté sur le fait qu’il ne doit plus avoir de violence ni de perte en vies humaines autour de l’organisation du scrutin présidentiel.
« Nous n’avons pas d’armes à feu et nous ne souhaitons pas de violences, nous voulons des élections avec zéro mort » a-t-il souhaité.
Au nom de la CNC, il a demandé solennellement la recomposition de la CEI, la révision de ses attributions, son mode de fonctionnement et la remise en place du code électoral.
« Le mal profond de la CEI réside dans ses attributions, dans ses modalités de fonctionnement et ses relations avec les autres institutions de la République » a souligné S.E. Charles Konan Banny, se référant à la proclamation des résultats des dernières élections de 2010 par la CEI.
En l’absence du candidat Essy Amara qui s’est fait représenter par son porte-parole, le président du LIDER, M. Mamadou Coulibaly et l’Honorable Kouadio Konan Bertin ont ont appeler le pouvoir en place à un dialogue immédiat ouvert à tous les 10 prétendants au challenge de la magistrature suprême du 25 octobre prochain.
R. K
