Agboville - Le Programme national de cohésion sociale (PNCS), sous la direction du Prof Koné Mariatou, a démarré vendredi à Agboville, un atelier de validation du Document de stratégie nationale en matière de réconciliation et de cohésion sociale (DSRCS), en présence de 80 experts ivoiriens.
Le DSRCS, fruit de la réflexion participative qui avait été élaboré par une équipe de consultants nationaux avant d’être soumis à un expert pour relecture, a besoin d’être enrichi et validé par les différents acteurs et parties prenantes, selon le PNCS.
Face aux con séquences multiples des différentes crises qu’a connues la Côte d’Ivoire et essentiellement celle de 2010 qui a fortement accentué et perturbé les fondements de l’unité nationale, le gouvernement a inscrit dans ces objectifs prioritaires, la cohésion sociale et la réconciliation nationale dans le cadre de la justice transitionnelle par l’institutionnalisation des réformes.
Les conséquences les plus importantes de ces crises, rappelle un communiqué du PNCS, concernent l’aggravation de la pauvreté des familles et des personnes, les violations massives des droits humains, la destruction des infrastructures socioéconomiques et des services sociaux de base.
« En adoptant une stratégie nationale sur la justice transitionnelle, la démarche cohérente et efficiente des intervenants nationaux facilitera l’appui e t le soutien des partenaires internationaux », a assuré Marguerita Bukuru, représentant l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) sur la Division des Droits de l’Homme et de l’Office du Haut Commissariat aux Droits de l’homme.
L’atelier qui prend fin samedi est financé par l’office du Haut Commissariat aux Droits de l’homme et du Fonds de consolidations de la paix.
dd/cmas
Le DSRCS, fruit de la réflexion participative qui avait été élaboré par une équipe de consultants nationaux avant d’être soumis à un expert pour relecture, a besoin d’être enrichi et validé par les différents acteurs et parties prenantes, selon le PNCS.
Face aux con séquences multiples des différentes crises qu’a connues la Côte d’Ivoire et essentiellement celle de 2010 qui a fortement accentué et perturbé les fondements de l’unité nationale, le gouvernement a inscrit dans ces objectifs prioritaires, la cohésion sociale et la réconciliation nationale dans le cadre de la justice transitionnelle par l’institutionnalisation des réformes.
Les conséquences les plus importantes de ces crises, rappelle un communiqué du PNCS, concernent l’aggravation de la pauvreté des familles et des personnes, les violations massives des droits humains, la destruction des infrastructures socioéconomiques et des services sociaux de base.
« En adoptant une stratégie nationale sur la justice transitionnelle, la démarche cohérente et efficiente des intervenants nationaux facilitera l’appui e t le soutien des partenaires internationaux », a assuré Marguerita Bukuru, représentant l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) sur la Division des Droits de l’Homme et de l’Office du Haut Commissariat aux Droits de l’homme.
L’atelier qui prend fin samedi est financé par l’office du Haut Commissariat aux Droits de l’homme et du Fonds de consolidations de la paix.
dd/cmas