Chers compatriotes,
Il y a cinq ans, pour mettre un terme à la longue crise qui sévissait déjà depuis deux décennies, une élection de sortie de crise était organisée. Quatorze patriotes avaient été retenus aux élections de 2010 pour proposer la thérapie qui sauve. Votre modeste serviteur était au nombre de ceux là.
Les projets et programmes proposés par ces prétendants étaient essentiellement axés sur des solutions d’ordre économique et démocratique.
Je faisais valoir pour ma part qu’aucun projet de développement durable ne pouvait prospérer sans les bases de notre unité nationale; c'est-à-dire la coexistence pacifique entre nos différentes populations et la cohésion sociale. Je proposais à la nation un projet et un programme axés sur la réconciliation nationale, thème central de ma campagne.
Les élections ont eu lieu, vous en connaissez l’issue tragique. Plusieurs milliers de nos compatriotes y ont laissé la vie. Comme un sort qui s’acharne sur notre pays depuis la disparition du Président HOUPHOUET-BOIGNY. Depuis lors les élections en Côte d’Ivoire portent la marque de la violence. Après son installation au pouvoir, le Président Ouattara a déroulé son programme. Cinq ans après, quel est l’état de notre société ? La nation est-elle rassemblée comme le promettait le candidat Ouattara ? Les ivoiriens ont-ils cessé de se regarder en chiens de faïence ?
Je souhaite sereins, courtois, fraternels, francs, sincères et empreints de vérités, les prochains débats qui s’ouvriront autour du bilan du Président sortant. Je prendrai part au débat sur le sujet de la réconciliation nationale qui ne fera pas polémique. Car le chantier de la réconciliation est resté tout entier.
La guerre post électorale a accentué gravement la fracture des dix années de rébellion, de partition et de résistance depuis 2002. Les populations sont catégorisées en pro Gbagbo et en pro Ouattara plus que jamais et la méfiance est de règle.
Chers compatriotes, les raisons de cet échec ne sont à rechercher ni dans la volonté, ni dans la compétence mais plutôt dans la qualité du réconciliateur en chef, en l’occurrence, le Pr& eacute;sident de la République, détenteur exclusif du pouvoir exécutif, lui-même acteur majeur et protagoniste de la crise.
Eminents hommes de média, vous êtes les témoins privilégiés et la mémoire de l’histoire de notre jeune nation. La constance de mon analyse et de ma vision sur la question de la réconciliation est la seule raison de mon intrusion sur le terrain politique. J’ai toujours fais valoir que la réconciliation, après un contentieux aussi lourd, ne pouvait être réussie sous la présidence d’un protagoniste.
C’est fort de cette réalité redoutable que j’ai conçu et proposer le schéma du ‘’Neutre réconciliateur’’ qui fait aujourd’hui l’unanimité de tous les observateurs sérieux de la scène politique ivoirienne.
La réconciliation n’est pas une option, c’est un passage obligé pour la paix durable, source de stabilité et de progrès.
Pour y arriver, deux conditions sont à remplir : le changement et l’instauration d’un nouvel ordre consensuel. Deux conditions qui ne pourront être satisfaites que dans l’union et le consensus entre les acteurs politiques pour battre M. Ouattara.
Si donc l’union et le consensus conditionnent le changement, la qualité de l’homme du consensus détermine la réussite de la réconciliation. C’est une question de positionnement, de vocation et de mission qui exige une personne neutre, indépendante, affranchie de toute tutelle politique et impartiale.
Je suis candidat pour porter ce projet et indiquer ce chemin. Je suis candidat pour réhabiliter les valeurs d’amour, de fratern ité et de tolérance qui fondent notre vivre ensemble et réaffirment le leadership, l’hospitalité et la prospérité indispensables à notre beau pays.
Je veux le faire avec des principes et des valeurs d’honnêteté, d’intégrité et de dignité. C’est en respect de ces valeurs et en accord avec les exigences divines que j’ai respectueusement décliné les cent millions (100 000 000) de FCFA consentis par le Président candidat OUATTARA.
J’en appelle et j’invite prestement toutes les forces du changement à me rejoindre pour préparer la victoire de la Côte d’ivoire.
Chers compatriotes, dans la vie des nations comme des peuples, il y a du classique et de l’atypique, de l’attendu et de l’inédit, du naturel et du surnaturel. L’atypique, l’in&eacu te;dit et le surnaturel sont la marque de DIEU.
Ivoiriens et ivoiriennes férus de la réconciliation et de la paix, venez et conduisons sous l’autorité et le contrôle de Dieu, notre pays sur le chemin de sa destinée d’amour, de prospérité et de partage.
Venez, faisons Lui confiance et allons seulement !
Dieu bénisse la Côte d’ivoire,
Je vous remercie.
Abidjan, le mercredi 14 octobre 2015
KONAN Kouadio Siméon (KKS)
Candidat Indépendant à l’élection Présidentielle 2015
Il y a cinq ans, pour mettre un terme à la longue crise qui sévissait déjà depuis deux décennies, une élection de sortie de crise était organisée. Quatorze patriotes avaient été retenus aux élections de 2010 pour proposer la thérapie qui sauve. Votre modeste serviteur était au nombre de ceux là.
Les projets et programmes proposés par ces prétendants étaient essentiellement axés sur des solutions d’ordre économique et démocratique.
Je faisais valoir pour ma part qu’aucun projet de développement durable ne pouvait prospérer sans les bases de notre unité nationale; c'est-à-dire la coexistence pacifique entre nos différentes populations et la cohésion sociale. Je proposais à la nation un projet et un programme axés sur la réconciliation nationale, thème central de ma campagne.
Les élections ont eu lieu, vous en connaissez l’issue tragique. Plusieurs milliers de nos compatriotes y ont laissé la vie. Comme un sort qui s’acharne sur notre pays depuis la disparition du Président HOUPHOUET-BOIGNY. Depuis lors les élections en Côte d’Ivoire portent la marque de la violence. Après son installation au pouvoir, le Président Ouattara a déroulé son programme. Cinq ans après, quel est l’état de notre société ? La nation est-elle rassemblée comme le promettait le candidat Ouattara ? Les ivoiriens ont-ils cessé de se regarder en chiens de faïence ?
Je souhaite sereins, courtois, fraternels, francs, sincères et empreints de vérités, les prochains débats qui s’ouvriront autour du bilan du Président sortant. Je prendrai part au débat sur le sujet de la réconciliation nationale qui ne fera pas polémique. Car le chantier de la réconciliation est resté tout entier.
La guerre post électorale a accentué gravement la fracture des dix années de rébellion, de partition et de résistance depuis 2002. Les populations sont catégorisées en pro Gbagbo et en pro Ouattara plus que jamais et la méfiance est de règle.
Chers compatriotes, les raisons de cet échec ne sont à rechercher ni dans la volonté, ni dans la compétence mais plutôt dans la qualité du réconciliateur en chef, en l’occurrence, le Pr& eacute;sident de la République, détenteur exclusif du pouvoir exécutif, lui-même acteur majeur et protagoniste de la crise.
Eminents hommes de média, vous êtes les témoins privilégiés et la mémoire de l’histoire de notre jeune nation. La constance de mon analyse et de ma vision sur la question de la réconciliation est la seule raison de mon intrusion sur le terrain politique. J’ai toujours fais valoir que la réconciliation, après un contentieux aussi lourd, ne pouvait être réussie sous la présidence d’un protagoniste.
C’est fort de cette réalité redoutable que j’ai conçu et proposer le schéma du ‘’Neutre réconciliateur’’ qui fait aujourd’hui l’unanimité de tous les observateurs sérieux de la scène politique ivoirienne.
La réconciliation n’est pas une option, c’est un passage obligé pour la paix durable, source de stabilité et de progrès.
Pour y arriver, deux conditions sont à remplir : le changement et l’instauration d’un nouvel ordre consensuel. Deux conditions qui ne pourront être satisfaites que dans l’union et le consensus entre les acteurs politiques pour battre M. Ouattara.
Si donc l’union et le consensus conditionnent le changement, la qualité de l’homme du consensus détermine la réussite de la réconciliation. C’est une question de positionnement, de vocation et de mission qui exige une personne neutre, indépendante, affranchie de toute tutelle politique et impartiale.
Je suis candidat pour porter ce projet et indiquer ce chemin. Je suis candidat pour réhabiliter les valeurs d’amour, de fratern ité et de tolérance qui fondent notre vivre ensemble et réaffirment le leadership, l’hospitalité et la prospérité indispensables à notre beau pays.
Je veux le faire avec des principes et des valeurs d’honnêteté, d’intégrité et de dignité. C’est en respect de ces valeurs et en accord avec les exigences divines que j’ai respectueusement décliné les cent millions (100 000 000) de FCFA consentis par le Président candidat OUATTARA.
J’en appelle et j’invite prestement toutes les forces du changement à me rejoindre pour préparer la victoire de la Côte d’ivoire.
Chers compatriotes, dans la vie des nations comme des peuples, il y a du classique et de l’atypique, de l’attendu et de l’inédit, du naturel et du surnaturel. L’atypique, l’in&eacu te;dit et le surnaturel sont la marque de DIEU.
Ivoiriens et ivoiriennes férus de la réconciliation et de la paix, venez et conduisons sous l’autorité et le contrôle de Dieu, notre pays sur le chemin de sa destinée d’amour, de prospérité et de partage.
Venez, faisons Lui confiance et allons seulement !
Dieu bénisse la Côte d’ivoire,
Je vous remercie.
Abidjan, le mercredi 14 octobre 2015
KONAN Kouadio Siméon (KKS)
Candidat Indépendant à l’élection Présidentielle 2015