Abidjan – Le Programme national de cohésion sociale (PNCS) a procédé, jeudi, à une signature d’une convention, à son siège à Abidjan avec des structures sanitaires et pharmacies, pour la prise en charge médicale et psychologique des victimes des crises survenues en Côte d’Ivoire, afin de ressouder le tissus social et renforcer la cohésion sociale.
Selon la directrice générale du PNCS, Pr Koné Mariatou, cette convention engage les différentes structures signataires, à la prise en charge effective de toutes les victimes des différentes crises survenues en Côte d’Ivoire les deux décennies passées. "Cette signature engage nos différentes structures, et c’est de notre responsabilité de mener à bien ce processus de paix et de réconciliation nationale, tant cher à notre pays la Cote d’Ivoire, a-t-elle dit.
Les responsables des différentes structures sanitaires et psychologiques présents à cette cérémonie, ont pris l’engagement de prendre en charge gratuitement toutes les victimes des crises sur toute l’étendue du territoire national, selon les clauses de la convention.
Environ un montant global de dix milliards est alloué au PNCS pour la prise en charge de plus de 1.000 victimes enregistrées à ce jour, précise-t-on.
(AIP)
ea/fmo/ask
Selon la directrice générale du PNCS, Pr Koné Mariatou, cette convention engage les différentes structures signataires, à la prise en charge effective de toutes les victimes des différentes crises survenues en Côte d’Ivoire les deux décennies passées. "Cette signature engage nos différentes structures, et c’est de notre responsabilité de mener à bien ce processus de paix et de réconciliation nationale, tant cher à notre pays la Cote d’Ivoire, a-t-elle dit.
Les responsables des différentes structures sanitaires et psychologiques présents à cette cérémonie, ont pris l’engagement de prendre en charge gratuitement toutes les victimes des crises sur toute l’étendue du territoire national, selon les clauses de la convention.
Environ un montant global de dix milliards est alloué au PNCS pour la prise en charge de plus de 1.000 victimes enregistrées à ce jour, précise-t-on.
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