L'Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD) a tenu cette semaine dans la capitale djiboutienne une réunion de haut niveau sur la réglementation de la circulation des médicaments dans cette région de l'Afrique en proie à un trafic importants des médicaments contrefaits.
Organisée en partenariat avec l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), cette rencontre avait pour objectif de tirer la sonnette d'alarme sur les conséquences de trafics transnationaux des faux médicaments dénoncés par tous les pays membres de l'IGAD.
Il s'agissait également pour les responsables des pays de l'IGAD d'appeler à l'élaboration d'une stratégie commune pour la mise en place d'une réglementation régionale de la circulation des médicaments.
"La nature poreuse des frontières dont la région avait facilité un mouvement rentable des personnes et des animaux, des biens et des services dans l'esprit de l'intégration, des médicaments illégaux et contrefaits qui sont dangereux pour la santé humaine et animale ont également trouvé leur chemin à travers", a rappelé le directeur de la coopération économique et le développement social de l'IGAD, M. Elsadig Abdalla, dans une déclaration effectuée à cette occasion.
Selon lui, il est du mandat et de la responsabilité de l'IGAD, en tant qu'organisation régionale, de soutenir et coordonner les efforts et les initiatives afin de répondre à ces questions cruciales pour le bénéfice et la sécurité des populations de pays de l'IGAD.
M. Abdalla a noté par ailleurs que les mécanismes d'assurance de la qualité dans la région de l'IGAD étaient faibles ce dernier temps en raison principalement, a-t-il pointé du doigt, de l'insuffisance des systèmes de réglementation.
De son côté, le secrétaire général du ministère djiboutien de la Santé, Ali Silay, a décrit "une région de l'IGAD gravement affectée par la charge de qualité inférieure, faussement étiquetée, falsifiée et contrefaite", et a appelé à cette occasion à un effort concerté pour traiter les causes profondes et les défis ainsi que les ressources nécessaires prévalant pour établir et renforcer les systèmes nationaux de réglementation harmonisée.
Organisée en partenariat avec l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), cette rencontre avait pour objectif de tirer la sonnette d'alarme sur les conséquences de trafics transnationaux des faux médicaments dénoncés par tous les pays membres de l'IGAD.
Il s'agissait également pour les responsables des pays de l'IGAD d'appeler à l'élaboration d'une stratégie commune pour la mise en place d'une réglementation régionale de la circulation des médicaments.
"La nature poreuse des frontières dont la région avait facilité un mouvement rentable des personnes et des animaux, des biens et des services dans l'esprit de l'intégration, des médicaments illégaux et contrefaits qui sont dangereux pour la santé humaine et animale ont également trouvé leur chemin à travers", a rappelé le directeur de la coopération économique et le développement social de l'IGAD, M. Elsadig Abdalla, dans une déclaration effectuée à cette occasion.
Selon lui, il est du mandat et de la responsabilité de l'IGAD, en tant qu'organisation régionale, de soutenir et coordonner les efforts et les initiatives afin de répondre à ces questions cruciales pour le bénéfice et la sécurité des populations de pays de l'IGAD.
M. Abdalla a noté par ailleurs que les mécanismes d'assurance de la qualité dans la région de l'IGAD étaient faibles ce dernier temps en raison principalement, a-t-il pointé du doigt, de l'insuffisance des systèmes de réglementation.
De son côté, le secrétaire général du ministère djiboutien de la Santé, Ali Silay, a décrit "une région de l'IGAD gravement affectée par la charge de qualité inférieure, faussement étiquetée, falsifiée et contrefaite", et a appelé à cette occasion à un effort concerté pour traiter les causes profondes et les défis ainsi que les ressources nécessaires prévalant pour établir et renforcer les systèmes nationaux de réglementation harmonisée.
