Depuis quelques semaines, des populations de divers quartiers de la commune de Koumassi sollicitent l’aide de leur Député Cissé Bacongo afin de les accompagner dans l’assainissement de leur cadre de vie. Ce jeudi 19 novembre 2015, c’est le cri de cœur de M. Gossé Stanislas Désiré, président des riverains du grand marché de koumassi qui a été entendu.
Depuis près de 3 mois les riverains du grand marché de koumassi vivent un calvaire. Les eaux de pluies qui transitent par leur quartier, peinent à s’écouler vers les égouts, transformant la zone en un terrain couvert d’eau stagnante avec des tas d’immondices çà et là. La situation étant devenu alarmante, eut égard au danger sanitaire que cela pourrait faire courir aux habitants du quartier, ces derniers, notamment les jeunes, ont décidé de s’attaquer aux causes de dégradation avancée de leur cadre de vie.
Avec l’appui matériel et financier du Député Cissé Bacongo qu’ils ont sollicité, les jeunes du quartier, aidés par des éboueurs aguerris à cette tâche, ont entamé en cette matinée du jeudi 19 novembre 2015, une mission herculéenne : remonter jusqu’aux différentes embouchures afin d’en dégager les orifices. Ensuite suivra le curage des caniveaux jusqu’à les vider de toutes les ordures pour que le drainage soit plus fluide.
Selon un envoyé du Ministre Bacongo qui supervisait les travaux, les causes de la dégradation avancée du cadre de vie et des voiries de Koumassi résident entre autres, dans l’ensablement et au non curage des caniveaux. Aussi, ajoute-t-il, en certains endroits, sinon dans leur majorité, les caniveaux sont transformés quasi permanemment en dépôts d’ordures ménagères à travers la commune. Conséquence, les égouts sont bouchés, ce qui empêche l’évacuation des eaux usées ou pluviales. « Il faut que les travaux de réhabilitation de la voirie de koumassi, entamés par l’Etat, soient accompagnés par ce genre d’initiative des jeunes de la commune, et pour cela leur Député sera toujours là pour les accompagner en terme de moyens » a conclu l’émissaire du Ministre Bacongo.
Il faut noter que c’est pratiquement le cas en plusieurs endroits de la commune. Il s’agit notamment, du carrefour Saint François, du quartier Baradji et plus récemment de la zone industrielle, précisément au niveau de la mosquée.
Depuis près de 3 mois les riverains du grand marché de koumassi vivent un calvaire. Les eaux de pluies qui transitent par leur quartier, peinent à s’écouler vers les égouts, transformant la zone en un terrain couvert d’eau stagnante avec des tas d’immondices çà et là. La situation étant devenu alarmante, eut égard au danger sanitaire que cela pourrait faire courir aux habitants du quartier, ces derniers, notamment les jeunes, ont décidé de s’attaquer aux causes de dégradation avancée de leur cadre de vie.
Avec l’appui matériel et financier du Député Cissé Bacongo qu’ils ont sollicité, les jeunes du quartier, aidés par des éboueurs aguerris à cette tâche, ont entamé en cette matinée du jeudi 19 novembre 2015, une mission herculéenne : remonter jusqu’aux différentes embouchures afin d’en dégager les orifices. Ensuite suivra le curage des caniveaux jusqu’à les vider de toutes les ordures pour que le drainage soit plus fluide.
Selon un envoyé du Ministre Bacongo qui supervisait les travaux, les causes de la dégradation avancée du cadre de vie et des voiries de Koumassi résident entre autres, dans l’ensablement et au non curage des caniveaux. Aussi, ajoute-t-il, en certains endroits, sinon dans leur majorité, les caniveaux sont transformés quasi permanemment en dépôts d’ordures ménagères à travers la commune. Conséquence, les égouts sont bouchés, ce qui empêche l’évacuation des eaux usées ou pluviales. « Il faut que les travaux de réhabilitation de la voirie de koumassi, entamés par l’Etat, soient accompagnés par ce genre d’initiative des jeunes de la commune, et pour cela leur Député sera toujours là pour les accompagner en terme de moyens » a conclu l’émissaire du Ministre Bacongo.
Il faut noter que c’est pratiquement le cas en plusieurs endroits de la commune. Il s’agit notamment, du carrefour Saint François, du quartier Baradji et plus récemment de la zone industrielle, précisément au niveau de la mosquée.
