L’expert en Communication de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), Diomansi Bomboté, a soutenu, samedi, à Grand-Bassam que "les médias d’Etat n’appartiennent pas à l’Etat, mais au peuple qui paye les impôts".
M. Bomboté intervenait sur le thème «agression de journalistes et impunité en Afrique» , lors de la commémoration différée de la Journée mondiale de la fin de l'impunité pour les crimes commis contre les journalistes, organisée à Grand-Bassam, première capitale ivoirienne. Il a regretté dans la foulée, la peur engendrée par l'impunité pour les crimes contre les journalistes qui "est incompatible avec l'exercice de la liberté de presse".
"L'impunité met en danger des journalistes (….).La peur est incompatible avec l'exercice de la liberté de presse", a fait remarquer M. Bamboté, indiquant également que "sans liberté de presse, il n'y a pas de démocratie". Aussi, a-t-il invité le public composé de professionnels et d'étudiants "à une formation continue, une remise en cause qu'exige ce métier".
La Journée mondiale de fin de l'impunité pour les crimes commis contre les journalistes est commémorée chaque 2 novembre à l'initiative de l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations Unies (ONU) à la suite de l'assassinat en 2013 de deux journalistes d Radio France Internationale (RFI), Gislaine Dupont et Claude Verlon à Kidal au Nord du Mali.
Au cours de la dernière décennie, plus de 700 journalistes ont été tués parce qu'ils informaient le public, selon l'ONU. Cette conférence a été organisée par le bureau de l'UNESCO à Abidjan, dirigé par Ido Yao. La ville historique de Grand Bassam, qui l'a abrité est classée patrimoine historique de cette institution onusienne.
SY/ls/APA
M. Bomboté intervenait sur le thème «agression de journalistes et impunité en Afrique» , lors de la commémoration différée de la Journée mondiale de la fin de l'impunité pour les crimes commis contre les journalistes, organisée à Grand-Bassam, première capitale ivoirienne. Il a regretté dans la foulée, la peur engendrée par l'impunité pour les crimes contre les journalistes qui "est incompatible avec l'exercice de la liberté de presse".
"L'impunité met en danger des journalistes (….).La peur est incompatible avec l'exercice de la liberté de presse", a fait remarquer M. Bamboté, indiquant également que "sans liberté de presse, il n'y a pas de démocratie". Aussi, a-t-il invité le public composé de professionnels et d'étudiants "à une formation continue, une remise en cause qu'exige ce métier".
La Journée mondiale de fin de l'impunité pour les crimes commis contre les journalistes est commémorée chaque 2 novembre à l'initiative de l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations Unies (ONU) à la suite de l'assassinat en 2013 de deux journalistes d Radio France Internationale (RFI), Gislaine Dupont et Claude Verlon à Kidal au Nord du Mali.
Au cours de la dernière décennie, plus de 700 journalistes ont été tués parce qu'ils informaient le public, selon l'ONU. Cette conférence a été organisée par le bureau de l'UNESCO à Abidjan, dirigé par Ido Yao. La ville historique de Grand Bassam, qui l'a abrité est classée patrimoine historique de cette institution onusienne.
SY/ls/APA