Dans l’optique de redorer l’image de sa commune et de favoriser le bien-être de sa population, le maire Toungara Adama a pris le mercredi 18 novembre 2015 trois arrêtés importants concernant l’urbanisation et l’assainissement de sa commune. A cet effet, son chargé de communication, Yves Doumbia, s’est confié à l’IA afin de donner la quintessence de ces arrêtés.
Le premier arrêté municipal n° 2515 80 porte déguerpissement des chausses, trottoirs, terre-pleins, ronds-points et ouvrages de drainage des eaux pluviales. De mauvais stationnement des véhicules de transport et de particuliers sur la voie express d’Anador à la nouvelle gare Pk 18. Le deuxième arrêté municipal n° 2515 81 porte interdiction de stationnement,le chargement et déchargement des passagers , de commerce, de mendicité et d’occupation anarchique de tout genre aux alentours de la mairie, de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE), de l’hôpital Général, du lycée moderne d’Abobo, du Trésor et du Centre d’action culturelle d’Abobo. Quant au dernier arrêté municipal n° 2515 82, il porte fermeture de toutes les gares routières aux ronds-points de la voie express, aux alentours de la mairie, à la nouvelle gare routière (Sogegar). Selon son chargé de communication, Yves Doumbia, le premier magistrat de la commune veut au travers de ces trois importantes mesures participer au développement de sa commune : « Aujourd’hui, il est difficile de circuler à Abobo. Il existe l’anarchie à tous les niveaux. Les alentours de la mairie sont pris d’assaut par des vendeurs qui n’ont pas d’autorisation. Les commerçants refusent de prendre place dans les marchés. Ils préfèrent être en bordure de route alors qu’il y a un marché moderne construit pour eux. Ceci n’est pas normal. Abobo aspire à l’émergence et au développement. Nous voulons accueillir les investisseurs. Dans un contexte d’anarchie, ils ne peuvent pas venir».
Les syndicats de commerçants et des transports sont tous informés
Selon Yves Doumbia, une phase de sensibilisation des acteurs des secteurs touchés par ces trois mesures a été faite. Des tracts et autres supports de communication de proximité ont été utilisés pour faciliter le processus déguerpissement. De plus, il a révélé que le vendredi 20 novembre 2015, les maires adjoints, Siaka Koné et Touré Drissa ont entretenu les syndicats de commerçants et de transports urbains sur le programme de l’opération. Après des échanges houleux, dit-il, les protagonistes ont pu accorder leurs violons pour la réussite totale de cette mission. « Pendant cette réunion, il ne s’agissait pas d’avoir l’assentiment ou non des syndicats. Mais de les informer sur le processus de déguerpissement. Afin qu’il n’y est pas de résistance. Le maire Toungara veut faire sortir sa commune de l’informel. Et je pense que les syndicats l’on bien compris », a ajouté le chargé de communication de la mairie. Puis de poursuivre : « Nous avons eu une autre réunion avec les forces de l’ordre pour baliser la stratégie sécuritaire déployée pour cette opération. Ils nous ont convaincus qu’ils seront à notre disposition tout le long du processus ».
Ces arrêtés municipaux ont pris effet le 18 novembre 2015. Et se poursuivront jusqu’à ce que le fléau soit éradiqué, a conclu Yves Doumbia.
MB
Le premier arrêté municipal n° 2515 80 porte déguerpissement des chausses, trottoirs, terre-pleins, ronds-points et ouvrages de drainage des eaux pluviales. De mauvais stationnement des véhicules de transport et de particuliers sur la voie express d’Anador à la nouvelle gare Pk 18. Le deuxième arrêté municipal n° 2515 81 porte interdiction de stationnement,le chargement et déchargement des passagers , de commerce, de mendicité et d’occupation anarchique de tout genre aux alentours de la mairie, de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE), de l’hôpital Général, du lycée moderne d’Abobo, du Trésor et du Centre d’action culturelle d’Abobo. Quant au dernier arrêté municipal n° 2515 82, il porte fermeture de toutes les gares routières aux ronds-points de la voie express, aux alentours de la mairie, à la nouvelle gare routière (Sogegar). Selon son chargé de communication, Yves Doumbia, le premier magistrat de la commune veut au travers de ces trois importantes mesures participer au développement de sa commune : « Aujourd’hui, il est difficile de circuler à Abobo. Il existe l’anarchie à tous les niveaux. Les alentours de la mairie sont pris d’assaut par des vendeurs qui n’ont pas d’autorisation. Les commerçants refusent de prendre place dans les marchés. Ils préfèrent être en bordure de route alors qu’il y a un marché moderne construit pour eux. Ceci n’est pas normal. Abobo aspire à l’émergence et au développement. Nous voulons accueillir les investisseurs. Dans un contexte d’anarchie, ils ne peuvent pas venir».
Les syndicats de commerçants et des transports sont tous informés
Selon Yves Doumbia, une phase de sensibilisation des acteurs des secteurs touchés par ces trois mesures a été faite. Des tracts et autres supports de communication de proximité ont été utilisés pour faciliter le processus déguerpissement. De plus, il a révélé que le vendredi 20 novembre 2015, les maires adjoints, Siaka Koné et Touré Drissa ont entretenu les syndicats de commerçants et de transports urbains sur le programme de l’opération. Après des échanges houleux, dit-il, les protagonistes ont pu accorder leurs violons pour la réussite totale de cette mission. « Pendant cette réunion, il ne s’agissait pas d’avoir l’assentiment ou non des syndicats. Mais de les informer sur le processus de déguerpissement. Afin qu’il n’y est pas de résistance. Le maire Toungara veut faire sortir sa commune de l’informel. Et je pense que les syndicats l’on bien compris », a ajouté le chargé de communication de la mairie. Puis de poursuivre : « Nous avons eu une autre réunion avec les forces de l’ordre pour baliser la stratégie sécuritaire déployée pour cette opération. Ils nous ont convaincus qu’ils seront à notre disposition tout le long du processus ».
Ces arrêtés municipaux ont pris effet le 18 novembre 2015. Et se poursuivront jusqu’à ce que le fléau soit éradiqué, a conclu Yves Doumbia.
MB