Abidjan, 1er déc (AIP)- La directrice générale du programme national de cohésion sociale (PNCS), Pr Mariatou Koné suggère l’instauration d’un climat de confiance entre les forces armées et la population ainsi qu’au sein de ces forces dans l’optique de renforcer la cohésion sociale.
Selon Pr Mariatou, qui s’exprimait au cours d’une conférence, mardi au siège de l’Opération des Nations Unies Côte d’Ivoire (ONUCI), cette proposition s’inscrit dans la stratégie nationale de réconciliation et de cohésion sociale (SNRCS) qui prévoit des actions pour améliorer la sécurité des populations. Il s’agit entre autres de renforcer le système de sécurité et de défense, de scolariser et réinsérer les jeunes à risques, d’organiser le retour des chasseurs traditionnels "dozos" dans leurs zones traditionnelles.
"Il faut faire en sorte que les différents corps c’est-à-dire la gendarmerie, la police, les militaires s’entendent, qu’on entende plus parler d’armée pro’’ (…) il faut qu’il y ait une seule armée en Côte d’Ivoire et il faut aussi que les populations se reconnaissent dans cette armée, que la population ait confiance en cette armée, à qui elle peut se confier", a-t-elle expliqué.
Pour la directrice générale du PNCS, instaurer la cohésion sociale revient à relever les défis de la lutte contre la prolifération et la circulation des armes légères, le règlement de la situation des ex-combattants et ex-miliciens, le règlement de l’insécurité aux frontières du pays, la lutte contre le grand banditisme et la délinquance juvénile.
(AIP)
tad/ask
Selon Pr Mariatou, qui s’exprimait au cours d’une conférence, mardi au siège de l’Opération des Nations Unies Côte d’Ivoire (ONUCI), cette proposition s’inscrit dans la stratégie nationale de réconciliation et de cohésion sociale (SNRCS) qui prévoit des actions pour améliorer la sécurité des populations. Il s’agit entre autres de renforcer le système de sécurité et de défense, de scolariser et réinsérer les jeunes à risques, d’organiser le retour des chasseurs traditionnels "dozos" dans leurs zones traditionnelles.
"Il faut faire en sorte que les différents corps c’est-à-dire la gendarmerie, la police, les militaires s’entendent, qu’on entende plus parler d’armée pro’’ (…) il faut qu’il y ait une seule armée en Côte d’Ivoire et il faut aussi que les populations se reconnaissent dans cette armée, que la population ait confiance en cette armée, à qui elle peut se confier", a-t-elle expliqué.
Pour la directrice générale du PNCS, instaurer la cohésion sociale revient à relever les défis de la lutte contre la prolifération et la circulation des armes légères, le règlement de la situation des ex-combattants et ex-miliciens, le règlement de l’insécurité aux frontières du pays, la lutte contre le grand banditisme et la délinquance juvénile.
(AIP)
tad/ask