Détenu depuis plus d’un an par le régime Ouattara à la Maca, l’ancien ministre Raphaël Dogo, a retrouvé la libéré hier. Selon son avocat Me Félix Boblé, cette libération intervient après un procès tenu le vendredi 27 novembre dernier au terme duquel le prisonnier politique a été condamné à un an sept jours. Une peine qui correspond exactement et curieusement au temps passé par le partisan du président Gbagbo en prison.
Initialement poursuivi pour atteinte à la sureté de l’Etat (un chef d’accusation générique du régime Ouattara contre les pro-Gbagbo), Raphael Dogo avait bénéficié déjà d’un non lieu partiel avant de se voir coller un autre délit tout aussi grotesque baptisé « omission de dénoncer un projet ou une activité de nature à nuire à la défense nationale ».
Ex-patron de la fédération des handicapés de Côte d’Ivoire, le ministre Dogo Raphaël avait été arrêté à son bureau par des agents de la Direction de la surveillance du territoire (DST). Ces accusations ont été perçues par nombre d’observateurs comme puériles et relevant de l’imagination du régime Ouattara dans sa répression contre les partisans du président Gbagbo au nom de la justice des vainqueurs.
Jean Khalil Sella
Initialement poursuivi pour atteinte à la sureté de l’Etat (un chef d’accusation générique du régime Ouattara contre les pro-Gbagbo), Raphael Dogo avait bénéficié déjà d’un non lieu partiel avant de se voir coller un autre délit tout aussi grotesque baptisé « omission de dénoncer un projet ou une activité de nature à nuire à la défense nationale ».
Ex-patron de la fédération des handicapés de Côte d’Ivoire, le ministre Dogo Raphaël avait été arrêté à son bureau par des agents de la Direction de la surveillance du territoire (DST). Ces accusations ont été perçues par nombre d’observateurs comme puériles et relevant de l’imagination du régime Ouattara dans sa répression contre les partisans du président Gbagbo au nom de la justice des vainqueurs.
Jean Khalil Sella