Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Chargé d’Affaires de l’Ambassade des Etats-Unis en Côte d’Ivoire, Andrew Haviland, a salué, jeudi, les pionniers du Projet Rétrovirus Côte d’Ivoire (Retro-CI) lors de la cérémonie marquant le 25ème anniversaire de cette initiative dont l’objectif est de conduire vers une génération sans SIDA.
Selon M. Haviland le Projet Retro-CI est un exemple remarquable de partenariat entre les Etats-Unis et la Côte d’Ivoire qui a aidé à renforcer d’énormes capacités de laboratoire de Côte d’Ivoire et d’Afrique.
‘’Le Projet Retro-CI qui était à l’origine une initiative conjointe entre les Centres Américains de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), l’Institut de Médecine Tropicale (IMT) d’Anvers en Belgique et le Ministère de la Santé de Côte d’Ivoire, est devenu une institution d’élite qui a élaboré des protocoles nationaux et régionaux pour la surveillance, la prévention, et la prise en charge du VIH’’, a-t-il rappelé.
Le Projet Retro-CI est rentré, en 2004, dans le cadre du programme du Plan d’Urgence du Président Américain de Lutte contre le SIDA (PEPFAR). Depuis lors, il a appuyé ‘’le gouvernement ivoirien pour le passage à l’échelle des services complets de prévention, de soins et de traitement du VIH à travers tout le pays, en renforçant le système national de santé dans le processus’’, a souligné le diplomate américain.
Au cours des 25 dernières années, le Projet Retro-CI a été un principal centre de recherche et de formation pour les leaders nationaux et internationaux de santé publique et de laboratoire ainsi
qu’un partenaire d’assistance technique au gouvernement de Côte d’Ivoire dans les activités relatives à la surveillance, à la prévention et à la prise en charge du VIH et un prestataire de services de laboratoire.
Andrew Haviland a fait remarquer l’augmentation du nombre de personnes recevant un traitement antirétroviral d’environ 2.000 en 2002 à près de 148.000 en 2015 ainsi que la hausse des bénéficiaires de la prophylaxie antirétrovirale chez les femmes enceintes infectées par le VIH et vivant avec le virus d’environ 1500 en 2004 à plus de 16.000 en 2015.
Quant aux soins dispensés aux orphelins et enfants vulnérables (dus au SIDA), le nombre est passé de 1.100 en 2004 à plus de 160.000 en 2015, a indiqué M. Haviland.
HS/ls
Selon M. Haviland le Projet Retro-CI est un exemple remarquable de partenariat entre les Etats-Unis et la Côte d’Ivoire qui a aidé à renforcer d’énormes capacités de laboratoire de Côte d’Ivoire et d’Afrique.
‘’Le Projet Retro-CI qui était à l’origine une initiative conjointe entre les Centres Américains de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), l’Institut de Médecine Tropicale (IMT) d’Anvers en Belgique et le Ministère de la Santé de Côte d’Ivoire, est devenu une institution d’élite qui a élaboré des protocoles nationaux et régionaux pour la surveillance, la prévention, et la prise en charge du VIH’’, a-t-il rappelé.
Le Projet Retro-CI est rentré, en 2004, dans le cadre du programme du Plan d’Urgence du Président Américain de Lutte contre le SIDA (PEPFAR). Depuis lors, il a appuyé ‘’le gouvernement ivoirien pour le passage à l’échelle des services complets de prévention, de soins et de traitement du VIH à travers tout le pays, en renforçant le système national de santé dans le processus’’, a souligné le diplomate américain.
Au cours des 25 dernières années, le Projet Retro-CI a été un principal centre de recherche et de formation pour les leaders nationaux et internationaux de santé publique et de laboratoire ainsi
qu’un partenaire d’assistance technique au gouvernement de Côte d’Ivoire dans les activités relatives à la surveillance, à la prévention et à la prise en charge du VIH et un prestataire de services de laboratoire.
Andrew Haviland a fait remarquer l’augmentation du nombre de personnes recevant un traitement antirétroviral d’environ 2.000 en 2002 à près de 148.000 en 2015 ainsi que la hausse des bénéficiaires de la prophylaxie antirétrovirale chez les femmes enceintes infectées par le VIH et vivant avec le virus d’environ 1500 en 2004 à plus de 16.000 en 2015.
Quant aux soins dispensés aux orphelins et enfants vulnérables (dus au SIDA), le nombre est passé de 1.100 en 2004 à plus de 160.000 en 2015, a indiqué M. Haviland.
HS/ls
