Le procès des assassins présumés du général Robert Gueï, tué en 2012, a été renvoyé jeudi au 21 janvier, en raison d’un problème de procédure.
« Trois des 22 inculpés étaient absents et il manquait des pièces relatives à leur convocation pour pouvoir poursuivre l’audience », a souligné le président qui a décidé de renvoyer l’affaire. Seuls dix-neuf personnes dont le général Dogbo Blé, ex-homme fort du régime de Laurent Gbagbo, et Anselme Séka Yapo, ancien responsable de la sécurité de Simone Gbagbo, étaient donc dans le box des accusés du tribunal militaire à Abidjan pour être jugés pour assassinat et complicité d’assassinat. suite de l'article sur Jeune Afrique
« Trois des 22 inculpés étaient absents et il manquait des pièces relatives à leur convocation pour pouvoir poursuivre l’audience », a souligné le président qui a décidé de renvoyer l’affaire. Seuls dix-neuf personnes dont le général Dogbo Blé, ex-homme fort du régime de Laurent Gbagbo, et Anselme Séka Yapo, ancien responsable de la sécurité de Simone Gbagbo, étaient donc dans le box des accusés du tribunal militaire à Abidjan pour être jugés pour assassinat et complicité d’assassinat. suite de l'article sur Jeune Afrique