Tanda – La nuit de la naissance du prophète Mouhammad ou Maouloud a été célébrée dans la nuit de mercredi à jeudi au sein de la grande mosquée de Tanda par des séances de lecture du Coran et de prêches pour permettre aux fidèles de se rappeler du prophète.
Placée sous le haut patronage du ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, et sous le parrainage du maire Koné Amadou, elle s’est passée à travers des vœux de prières au président de la République, à la communauté musulmane et à tous les cadres de Tanda.
Pour l’imam de la grande mosquée de Tanda, Ali Ouattara, l’islam signifie avant tout la religion de la paix et en tant que telle, elle ne saurait coïncider avec la mésentente, la désunion, le terrorisme qui gangrène aujourd’hui le monde entier, car a-t-il indiqué, « la Djihad est finie en tant que guerre contre l’autre, mais existe ou doit l’être en tant que guerre contre soi-même, contre les mauvaises pratiques ».
Pour le représentant du Conseil supérieur des imams (COSIM), El hadj Oumar Ouattara, la naissance du prophète Mouhammad survint dans un monde enténébré et plongé dans une ignorance profonde de Dieu où les peuples s’adonnaient à des pratiques dignes du paganisme et de l’animisme qui les éloignaient de plus en plus de Dieu.
Dans un tel contexte, poursuit-il, la naissance du prophète à propos de qui Dieu dit dans le Coran, « nous ne t’avons envoyé que comme miséricorde pour les mondes », est antithétique à toutes les pratiques obscènes qu’on observe aujourd’hui, surtout au terrorisme international. C’est pourquoi, il est important de célébrer cette nuit afin de revenir sur les fondamentaux de l’islam, sa véritable identité faite de bonnes actions qui ont perdu ou du moins qui sont en train de perdre du sens.
(AIP)
si/aaa/kp
Placée sous le haut patronage du ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, et sous le parrainage du maire Koné Amadou, elle s’est passée à travers des vœux de prières au président de la République, à la communauté musulmane et à tous les cadres de Tanda.
Pour l’imam de la grande mosquée de Tanda, Ali Ouattara, l’islam signifie avant tout la religion de la paix et en tant que telle, elle ne saurait coïncider avec la mésentente, la désunion, le terrorisme qui gangrène aujourd’hui le monde entier, car a-t-il indiqué, « la Djihad est finie en tant que guerre contre l’autre, mais existe ou doit l’être en tant que guerre contre soi-même, contre les mauvaises pratiques ».
Pour le représentant du Conseil supérieur des imams (COSIM), El hadj Oumar Ouattara, la naissance du prophète Mouhammad survint dans un monde enténébré et plongé dans une ignorance profonde de Dieu où les peuples s’adonnaient à des pratiques dignes du paganisme et de l’animisme qui les éloignaient de plus en plus de Dieu.
Dans un tel contexte, poursuit-il, la naissance du prophète à propos de qui Dieu dit dans le Coran, « nous ne t’avons envoyé que comme miséricorde pour les mondes », est antithétique à toutes les pratiques obscènes qu’on observe aujourd’hui, surtout au terrorisme international. C’est pourquoi, il est important de célébrer cette nuit afin de revenir sur les fondamentaux de l’islam, sa véritable identité faite de bonnes actions qui ont perdu ou du moins qui sont en train de perdre du sens.
(AIP)
si/aaa/kp