DECOR 1 : EPOPEE MANDINGUE.
« WARA » en malinké, est dit de la famille des félins et signifie féroce !
« WARA-BA » sera donc le plus grand (BA) de cette famille (WARA) !
Et « WARABA » est l’un des attributs du lion, roi de la forêt.
Toujours en malinké, on dit « DIARRA » (prononcer « djra ») pour désigner le lion.
Qui dit « WARABA », pense donc au lion, « DIARRA » ou « DIARRASSOUBA » (variante locale).
L’histoire raconte que « DIARRA » ou « DIARRASSOUBA », a été dit des combattants de la famille KONE, qui, lors d’une bataille dans les temps anciens, se sont montrés très vaillants.
« DIARRASSOUBA » est ainsi le descendant de la lignée des KONE, illustre combattant dont la bravoure est légendaire.
Au total et mathématiquement, DIARRASSOUBA = WARABA !!!!
Souleymane DIARRASSOUBA a donc de qui tenir !
DECOR 2 : AUTRES TEMPS, AUTRES LIEUX.
COTE D’IVOIRE, 2011, PERIODE POST-ELECTORALE.
La crise post-électorale a eu un impact considérable sur les banques implantées en Côte d’Ivoire. Les banques enregistrent dans leurs livres environ 50% de créances douteuses issues de cette crise.
Ajoutée à cela, la crise de l’Euro qui menace les Etats africains et singulièrement la Côte d’Ivoire.
Pour sortir de cette impasse, les nouvelles autorités ivoiriennes, conscientes que le développement d’un pays rime avec un système bancaire fort et puissant, voient dans les banques les acteurs clés susceptibles d’apporter une contribution substantielle et efficace, en étroite collaboration avec les autres partenaires qui soutiennent le PND.
Il s’agit en effet pour les banques de soutenir la transformation structurelle de notre économie, la création de richesses et le repositionnement de la Côte d’Ivoire sur la scène régionale et internationale.
En ligne de front, l’Association Professionnelle des Banques et Etablissements Financiers (APBEF- CI) et son lion de président, Souleymane DIARRASSOUBA.
De fait, l’APBEF-CI a pour objet de susciter et de maintenir des relations régulières et profitables entre ses membres, de manière à leur permettre de présenter un front uni et avoir le même langage, pour la défense et le développement des activités bancaires et financières dans l’économie de type libéral de la Côte d’Ivoire.
Pour ce faire, l’APBEF-CI s’est donnée pour mission de contribuer au développement de l’épargne et de la prospérité du commerce, de l’industrie et de l’agriculture, par la présentation de toutes suggestions relatives à ses intérêts généraux : au Gouvernement, à la BCEAO, aux Chambres Consulaires et aux autres organisations professionnelles ; Et de pouvoir agir comme arbitre amiable ou rapporteur, dans les contestations qui peuvent être portées devant elle.
C’est ainsi que dans la renaissance économique de notre pays, de la construction des infrastructures à la création d’emplois en passant par l’accompagnement des entreprises et le soutien au financement du Secteur Privé, l’ APBEF-CI a joué un rôle déterminant.
Son combattif président, Souleymane DIARRASSOUBA, néanmoins Directeur Général de Atlantic Business International (Holding du Groupe Banque Atlantique), a mis son dynamisme au service de son organisation. Et a su mettre en musique toutes les actions concertées dans le domaine des banques et des finances.
En effet, jeune et brillant, ce banquier au curriculum vitae impressionnant, connaît le monde des banques et des finances comme le lion maîtrise la forêt.
Diplômé d’Etudes Supérieures en Banque - CNAM Paris et titulaire d’un DESS- Audit et Contrôle de gestion UCI-Université Paris XII Val De Marne-UCI, il visite tous les sujets avec aisance et assurance.
WARABA sait que derrière les guichets des banques, se cache le mystère de la transformation des dépôts à court terme en crédits à long terme et de la création monétaire. Et il en a la maestria.
DIARRASSOUBA a également appris que tout aussi mystérieux, est le fonctionnement des marchés financiers et les rôles que les banques sont amenées à y jouer. Et il en a acquis l’expertise.
WARABA en banques et en finances, Souleymane l’est devenu.
En roi et Chef de famille des Banquiers et Financiers, il tient la barre.
Buffon, le grand naturaliste, n’en a jamais douté: "L’extérieur du lion ne dément point ses grandes qualités intérieures, il a la figure imposante, le regard assuré, la démarche fière, la voix terrible".
Victor Hugo, dans Chants du crépuscule, non plus : "Encore si ce banni n’avait rien aimé sur terre ! Mais les cœurs de lion sont les vrais cœurs de père !"
Enfin, coordonnant à merveille les activités de son organisation, Souleymane DIARRASSOUBA a su répondre aux attentes des gouvernants. Tant et si bien que le descendant des KONE a été élu en janvier 2015 à la présidence de la Fédération des Associations de Banques et Etablissements Financiers de l’UEMOA (FABEF-UEMOA) pour un mandat de deux (2) ans.
Et cela, après que les banquiers et financiers ivoiriens lui aient renouvelé à l’unanimité leur confiance à la tête de leur structure pour un nouveau mandat.
C’est donc à ce vaillant guerrier des banques et établissement financiers, que TWINS a décidé de consacrer sa septième parution pour vous restituer les travaux titanesques de WARABA et de l’APBEFCI, dans leur dynamique léonine de soutien financier de notre pays en route pour l’émergence 2020.
Bonne lecture et à très bientôt.
Zoko Sébé
Redacteur en chef
zokosebe@yahoo.fr
« WARA » en malinké, est dit de la famille des félins et signifie féroce !
« WARA-BA » sera donc le plus grand (BA) de cette famille (WARA) !
Et « WARABA » est l’un des attributs du lion, roi de la forêt.
Toujours en malinké, on dit « DIARRA » (prononcer « djra ») pour désigner le lion.
Qui dit « WARABA », pense donc au lion, « DIARRA » ou « DIARRASSOUBA » (variante locale).
L’histoire raconte que « DIARRA » ou « DIARRASSOUBA », a été dit des combattants de la famille KONE, qui, lors d’une bataille dans les temps anciens, se sont montrés très vaillants.
« DIARRASSOUBA » est ainsi le descendant de la lignée des KONE, illustre combattant dont la bravoure est légendaire.
Au total et mathématiquement, DIARRASSOUBA = WARABA !!!!
Souleymane DIARRASSOUBA a donc de qui tenir !
DECOR 2 : AUTRES TEMPS, AUTRES LIEUX.
COTE D’IVOIRE, 2011, PERIODE POST-ELECTORALE.
La crise post-électorale a eu un impact considérable sur les banques implantées en Côte d’Ivoire. Les banques enregistrent dans leurs livres environ 50% de créances douteuses issues de cette crise.
Ajoutée à cela, la crise de l’Euro qui menace les Etats africains et singulièrement la Côte d’Ivoire.
Pour sortir de cette impasse, les nouvelles autorités ivoiriennes, conscientes que le développement d’un pays rime avec un système bancaire fort et puissant, voient dans les banques les acteurs clés susceptibles d’apporter une contribution substantielle et efficace, en étroite collaboration avec les autres partenaires qui soutiennent le PND.
Il s’agit en effet pour les banques de soutenir la transformation structurelle de notre économie, la création de richesses et le repositionnement de la Côte d’Ivoire sur la scène régionale et internationale.
En ligne de front, l’Association Professionnelle des Banques et Etablissements Financiers (APBEF- CI) et son lion de président, Souleymane DIARRASSOUBA.
De fait, l’APBEF-CI a pour objet de susciter et de maintenir des relations régulières et profitables entre ses membres, de manière à leur permettre de présenter un front uni et avoir le même langage, pour la défense et le développement des activités bancaires et financières dans l’économie de type libéral de la Côte d’Ivoire.
Pour ce faire, l’APBEF-CI s’est donnée pour mission de contribuer au développement de l’épargne et de la prospérité du commerce, de l’industrie et de l’agriculture, par la présentation de toutes suggestions relatives à ses intérêts généraux : au Gouvernement, à la BCEAO, aux Chambres Consulaires et aux autres organisations professionnelles ; Et de pouvoir agir comme arbitre amiable ou rapporteur, dans les contestations qui peuvent être portées devant elle.
C’est ainsi que dans la renaissance économique de notre pays, de la construction des infrastructures à la création d’emplois en passant par l’accompagnement des entreprises et le soutien au financement du Secteur Privé, l’ APBEF-CI a joué un rôle déterminant.
Son combattif président, Souleymane DIARRASSOUBA, néanmoins Directeur Général de Atlantic Business International (Holding du Groupe Banque Atlantique), a mis son dynamisme au service de son organisation. Et a su mettre en musique toutes les actions concertées dans le domaine des banques et des finances.
En effet, jeune et brillant, ce banquier au curriculum vitae impressionnant, connaît le monde des banques et des finances comme le lion maîtrise la forêt.
Diplômé d’Etudes Supérieures en Banque - CNAM Paris et titulaire d’un DESS- Audit et Contrôle de gestion UCI-Université Paris XII Val De Marne-UCI, il visite tous les sujets avec aisance et assurance.
WARABA sait que derrière les guichets des banques, se cache le mystère de la transformation des dépôts à court terme en crédits à long terme et de la création monétaire. Et il en a la maestria.
DIARRASSOUBA a également appris que tout aussi mystérieux, est le fonctionnement des marchés financiers et les rôles que les banques sont amenées à y jouer. Et il en a acquis l’expertise.
WARABA en banques et en finances, Souleymane l’est devenu.
En roi et Chef de famille des Banquiers et Financiers, il tient la barre.
Buffon, le grand naturaliste, n’en a jamais douté: "L’extérieur du lion ne dément point ses grandes qualités intérieures, il a la figure imposante, le regard assuré, la démarche fière, la voix terrible".
Victor Hugo, dans Chants du crépuscule, non plus : "Encore si ce banni n’avait rien aimé sur terre ! Mais les cœurs de lion sont les vrais cœurs de père !"
Enfin, coordonnant à merveille les activités de son organisation, Souleymane DIARRASSOUBA a su répondre aux attentes des gouvernants. Tant et si bien que le descendant des KONE a été élu en janvier 2015 à la présidence de la Fédération des Associations de Banques et Etablissements Financiers de l’UEMOA (FABEF-UEMOA) pour un mandat de deux (2) ans.
Et cela, après que les banquiers et financiers ivoiriens lui aient renouvelé à l’unanimité leur confiance à la tête de leur structure pour un nouveau mandat.
C’est donc à ce vaillant guerrier des banques et établissement financiers, que TWINS a décidé de consacrer sa septième parution pour vous restituer les travaux titanesques de WARABA et de l’APBEFCI, dans leur dynamique léonine de soutien financier de notre pays en route pour l’émergence 2020.
Bonne lecture et à très bientôt.
Zoko Sébé
Redacteur en chef
zokosebe@yahoo.fr