Le Premier ministre ivoirien, qui conserve le portefeuille de l’Economie et des Finances, s’est entouré d’une équipe de haut niveau pour porter l’ambitieux programme économique du gouvernement.
«C’est un gouvernement de combat et de mission», ce sont les premiers mots lâchés par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan à la suite de la formation de son nouveau gouvernement ce 12 janvier.
« Il faut faire en sorte que nous réalisions les instructions du chef de l’Etat et les engagements qu’il a pris devant la nation ivoirienne, de faire en sorte que ce pays devienne un pays émergent à l’horizon 2020», a insisté le chef du gouvernement.
Daniel Kablan Duncan, anciennement ministre en charge de l’Economie et des Finances en 1990 – Alassane Ouattara étant alors Premier ministre – puis haut cadre du FMI et de la BCEAO (Banque centrale des Etats d’Afrique de l’ouest) conserve l’Economie et les Finances. Une charge qu’il va partager avec l’ex directeur général du Trésor public ivoirien, le discret Adama Koné, nouvel entrant, son ministre délégué.
L’économiste-statisticienne Nialé Kaba, elle, abandonne les «cordons de la bourse» pour passer au poste très stratégique de ministre du Plan et du développement, tête pensante du Programme national de développement, la boussole stratégique de l’action publique.
Benjamin du gouvernement, Abdourahmane Cissé, 34 ans, polytechnicien et ancien de la banque d’affaires Goldman Sachs, prend des galons avec, en plus du Budget, «la gestion du portefeuille de l’Etat».
Par ailleurs, cette équipe devra collaborer très étroitement avec l’ex dirigeant d’Ecobank, Thierry Tanoh, secrétaire général adjoint de la Présidence chargé des affaires économiques et financières, promu au rang de ministre auprès du président de la République.
Ces « soldats » comme il conviendrait de les appeler, devront très rapidement obtenir des résultats pour « la transformation économique de la Côte d’Ivoire ». Une action qui va commencer par la mobilisation des 29 311 milliards FCFA, soit 44,68 milliards d’euros, nécessaires pour financer l’ambitieux programme quinquennal de développement du pays .
Daniel Kablan Duncan a rappelé que le plan de travail du gouvernement devra tenir compte de grands axes retenus dans le programme du président de la République, notamment le renforcement des Institutions pour la gouvernance et la paix, la transformation de l’économie, l’amélioration des conditions de vie des Ivoiriens, l’amélioration des conditions des femmes et des jeunes.
Alassane Ouattara, qui a réuni son équipe en conseil des ministres ce mercredi, a indiqué attendre «une plus grande efficacité et plus de célérité » dans la conduite la conduite des affaires de l’Etat.
«C’est un gouvernement de combat et de mission», ce sont les premiers mots lâchés par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan à la suite de la formation de son nouveau gouvernement ce 12 janvier.
« Il faut faire en sorte que nous réalisions les instructions du chef de l’Etat et les engagements qu’il a pris devant la nation ivoirienne, de faire en sorte que ce pays devienne un pays émergent à l’horizon 2020», a insisté le chef du gouvernement.
Daniel Kablan Duncan, anciennement ministre en charge de l’Economie et des Finances en 1990 – Alassane Ouattara étant alors Premier ministre – puis haut cadre du FMI et de la BCEAO (Banque centrale des Etats d’Afrique de l’ouest) conserve l’Economie et les Finances. Une charge qu’il va partager avec l’ex directeur général du Trésor public ivoirien, le discret Adama Koné, nouvel entrant, son ministre délégué.
L’économiste-statisticienne Nialé Kaba, elle, abandonne les «cordons de la bourse» pour passer au poste très stratégique de ministre du Plan et du développement, tête pensante du Programme national de développement, la boussole stratégique de l’action publique.
Benjamin du gouvernement, Abdourahmane Cissé, 34 ans, polytechnicien et ancien de la banque d’affaires Goldman Sachs, prend des galons avec, en plus du Budget, «la gestion du portefeuille de l’Etat».
Par ailleurs, cette équipe devra collaborer très étroitement avec l’ex dirigeant d’Ecobank, Thierry Tanoh, secrétaire général adjoint de la Présidence chargé des affaires économiques et financières, promu au rang de ministre auprès du président de la République.
Ces « soldats » comme il conviendrait de les appeler, devront très rapidement obtenir des résultats pour « la transformation économique de la Côte d’Ivoire ». Une action qui va commencer par la mobilisation des 29 311 milliards FCFA, soit 44,68 milliards d’euros, nécessaires pour financer l’ambitieux programme quinquennal de développement du pays .
Daniel Kablan Duncan a rappelé que le plan de travail du gouvernement devra tenir compte de grands axes retenus dans le programme du président de la République, notamment le renforcement des Institutions pour la gouvernance et la paix, la transformation de l’économie, l’amélioration des conditions de vie des Ivoiriens, l’amélioration des conditions des femmes et des jeunes.
Alassane Ouattara, qui a réuni son équipe en conseil des ministres ce mercredi, a indiqué attendre «une plus grande efficacité et plus de célérité » dans la conduite la conduite des affaires de l’Etat.