Tanda – Le préfet du département de Tanda, Andjou Koua a instruit les cadres, hommes politiques, élus locaux, chefs traditionnels, membres d’organisations non gouvernementales (ONG), de syndicats, et des représentants des communautés étrangères sur le concept de l’ « ivoirien nouveau » prôné par le président de la République, Alassane Ouattara pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020.
S’exprimant à la faveur de la cérémonie traditionnelle de présentation de vœux tenue mardi à la sous préfecture de Tanda, M. Andjou a expliqué que l’ivoirien nouveau, est celui qui prenant conscience des tares morales de la société ivoirienne, s’en détourne en se conformant à la devise de la Côte d’Ivoire à savoir « l’ union, la discipline et le travail ».
Il s’agit, a-t-il ajouté, pour l’ « ivoirien nouveau » de se dépouiller des oripeaux de son vieil être et ainsi renaître dans le monde de la sphère privée et particulière de l’émergence qui sait mettre à part son savoir-faire et son savoir être.
Il a souligné que malgré les performances économiques réalisées par la Côte d’Ivoire, elle « est malade d’elle-même, de ses fils, elle vie une déchéance morale, une décrépitude, une indiscipline notoire ». Ainsi l’ « ivoirien nouveau » doit se départir des pratiques telles que « le racket, le népotisme, le clanisme, la corruption, le manichéisme, la gloutonnerie, le banditisme, le banditisme politique, le laxisme, l’arrivisme, la cupidité l’absentéisme, les détournements de fonds, « et accéder à l’émergence ».
si/tad/kam
S’exprimant à la faveur de la cérémonie traditionnelle de présentation de vœux tenue mardi à la sous préfecture de Tanda, M. Andjou a expliqué que l’ivoirien nouveau, est celui qui prenant conscience des tares morales de la société ivoirienne, s’en détourne en se conformant à la devise de la Côte d’Ivoire à savoir « l’ union, la discipline et le travail ».
Il s’agit, a-t-il ajouté, pour l’ « ivoirien nouveau » de se dépouiller des oripeaux de son vieil être et ainsi renaître dans le monde de la sphère privée et particulière de l’émergence qui sait mettre à part son savoir-faire et son savoir être.
Il a souligné que malgré les performances économiques réalisées par la Côte d’Ivoire, elle « est malade d’elle-même, de ses fils, elle vie une déchéance morale, une décrépitude, une indiscipline notoire ». Ainsi l’ « ivoirien nouveau » doit se départir des pratiques telles que « le racket, le népotisme, le clanisme, la corruption, le manichéisme, la gloutonnerie, le banditisme, le banditisme politique, le laxisme, l’arrivisme, la cupidité l’absentéisme, les détournements de fonds, « et accéder à l’émergence ».
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