Gagnoa - Le concept d’Ivoirien nouveau a été longuement expliqué lundi, lors de la cérémonie d’honneur au drapeau dans la cour de la préfecture de région du Gôh, en présence du secrétaire général 1 de la préfecture de Gagnoa, Anoh Angoratchi Noël.
"Il faut apprendre à respecter ce que fait l’Etat, c’est ça l’Ivoirien nouveau", a indiqué le représentant du préfet, insistant sur la nécessité de changer de mentalité si l’Ivoirien veut atteindre demain le niveau de l’émergence qui exige des gens qui ont des "mentalités refaites".
Anoh Angoratchi dit regretter que des corps sociaux ivoiriens détruisent les nombreuses infrastructures construites et même s’en prendre aux symboles de l’Etat, dès lors qu’ils manifestent leur mécontentement.
Il a singulièrement dénoncé l’attitude des élèves qui font preuve d’incivisme dans la destruction de biens communs.
Les enfants doivent savoir qu’ils ne sont pas les maitres et qu’il ne leur revient pas d’imposer leurs volontés ni aux enseignants, ni au système éducatif. "Ils sont là pour apprendre et pour appliquer ce que l’on leur demande de faire", a fait savoir le secrétaire général de préfecture de Gagnoa, rappelant que l’importance est que tous en Côte d’Ivoire s’inclinent devant l’emblème suprême qu’est le drapeau, afin de magnifier l’unité nationale retrouvée et la cohésion sociale.
Un peloton de la gendarmerie nationale, une section des forces armées de Côte d’Ivoire, une section de la police nationale, une équipe des Eaux et Forêts, de la police pénitentiaire ainsi que de l’Office national de la protection civile ont pris part à la cérémonie d’honneur au drapeau aux côtés des chefs de services publics et privés.
Dd/kp
"Il faut apprendre à respecter ce que fait l’Etat, c’est ça l’Ivoirien nouveau", a indiqué le représentant du préfet, insistant sur la nécessité de changer de mentalité si l’Ivoirien veut atteindre demain le niveau de l’émergence qui exige des gens qui ont des "mentalités refaites".
Anoh Angoratchi dit regretter que des corps sociaux ivoiriens détruisent les nombreuses infrastructures construites et même s’en prendre aux symboles de l’Etat, dès lors qu’ils manifestent leur mécontentement.
Il a singulièrement dénoncé l’attitude des élèves qui font preuve d’incivisme dans la destruction de biens communs.
Les enfants doivent savoir qu’ils ne sont pas les maitres et qu’il ne leur revient pas d’imposer leurs volontés ni aux enseignants, ni au système éducatif. "Ils sont là pour apprendre et pour appliquer ce que l’on leur demande de faire", a fait savoir le secrétaire général de préfecture de Gagnoa, rappelant que l’importance est que tous en Côte d’Ivoire s’inclinent devant l’emblème suprême qu’est le drapeau, afin de magnifier l’unité nationale retrouvée et la cohésion sociale.
Un peloton de la gendarmerie nationale, une section des forces armées de Côte d’Ivoire, une section de la police nationale, une équipe des Eaux et Forêts, de la police pénitentiaire ainsi que de l’Office national de la protection civile ont pris part à la cérémonie d’honneur au drapeau aux côtés des chefs de services publics et privés.
Dd/kp
