Un séminaire interrégional organisé conjointement par les Centres régionaux d’assistance technique du Fonds monétaire international (FMI) pour l’Afrique du Centre (AFC) et pour l’Afrique de l’Ouest (AFW) s’est ouvert, lundi, à Abidjan sur «la problématique de la déconcentration de l’ordonnancement des dépenses en Afrique subsaharienne francophone », a constaté APA sur place.
L'ouverture des travaux présidée par Karim Traoré, Directeur de cabinet du ministre ivoirien auprès du Premier ministre chargé du budget et du portefeuille de l'Etat, a été l'occasion pour Mme Malangu Kabedi-Mbuyi et Olivier Benon respectivement directeur-coordonateur d'Afritac de l'Ouest et d'Afritac du Centre de relever les enjeux de ces assises d'Abidjan.
« L'objectif est de faire le point sur les réformes des finances publiques mises en œuvre dans les deux sous-régions d'Afrique centrale et d'Afrique de l'Ouest », a expliqué M. Benon. En Afrique Centrale, a-t-il expliqué, « ces réformes ont été marquées ces dernières années par la révision des textes par les pays de la CEMAC et des autres Etats membres d'Afritac Centre que sont la RD Congo et le Burundi ».
Selon M. Benon, « cette révision entraîne une redéfinition majeur des rôles et responsabilités des acteurs de la chaîne de la dépense publique pour une meilleure gouvernance financière de l'Etat ».
Parmi ces réformes, la déconcentration de l'ordonnancement des dépenses est un maillon essentiel pour une dépense plus efficace et plus responsable, avec pour objectif la mise en œuvre des politiques publiques dans les meilleures conditions d'efficacité et d'efficience.
« Les échanges d'expériences des participants venant de plusieurs zones du continent et de divers horizons de la gestion des finances publiques (budget, contrôle financier, comptabilité, ministère sectoriel, commission de finances des assemblées nationales), permettront de mieux comprendre les enjeux et les innovations en cours dans ce domaine », a conclu Olivier Benon.
M. Traoré a pour sa part salué « l'importance et la qualité » de la problématique inscrite au menu de ce séminaire et de souhaiter des « échanges fructueux » au cours des travaux.
Des experts venus de 18 pays d'Afrique centrale et de l'ouest ainsi que des experts des institutions que sont l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et la Communauté économique et monétaire des Etats de l'Afrique Centrale (CEMAC) participent à ces travaux qui prendront fin le vendredi prochain. Le Représentant résidant du FMI en Côte d'Ivoire, Alain Feler a participé à la cérémonie d'ouverture.
LS/APA
L'ouverture des travaux présidée par Karim Traoré, Directeur de cabinet du ministre ivoirien auprès du Premier ministre chargé du budget et du portefeuille de l'Etat, a été l'occasion pour Mme Malangu Kabedi-Mbuyi et Olivier Benon respectivement directeur-coordonateur d'Afritac de l'Ouest et d'Afritac du Centre de relever les enjeux de ces assises d'Abidjan.
« L'objectif est de faire le point sur les réformes des finances publiques mises en œuvre dans les deux sous-régions d'Afrique centrale et d'Afrique de l'Ouest », a expliqué M. Benon. En Afrique Centrale, a-t-il expliqué, « ces réformes ont été marquées ces dernières années par la révision des textes par les pays de la CEMAC et des autres Etats membres d'Afritac Centre que sont la RD Congo et le Burundi ».
Selon M. Benon, « cette révision entraîne une redéfinition majeur des rôles et responsabilités des acteurs de la chaîne de la dépense publique pour une meilleure gouvernance financière de l'Etat ».
Parmi ces réformes, la déconcentration de l'ordonnancement des dépenses est un maillon essentiel pour une dépense plus efficace et plus responsable, avec pour objectif la mise en œuvre des politiques publiques dans les meilleures conditions d'efficacité et d'efficience.
« Les échanges d'expériences des participants venant de plusieurs zones du continent et de divers horizons de la gestion des finances publiques (budget, contrôle financier, comptabilité, ministère sectoriel, commission de finances des assemblées nationales), permettront de mieux comprendre les enjeux et les innovations en cours dans ce domaine », a conclu Olivier Benon.
M. Traoré a pour sa part salué « l'importance et la qualité » de la problématique inscrite au menu de ce séminaire et de souhaiter des « échanges fructueux » au cours des travaux.
Des experts venus de 18 pays d'Afrique centrale et de l'ouest ainsi que des experts des institutions que sont l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et la Communauté économique et monétaire des Etats de l'Afrique Centrale (CEMAC) participent à ces travaux qui prendront fin le vendredi prochain. Le Représentant résidant du FMI en Côte d'Ivoire, Alain Feler a participé à la cérémonie d'ouverture.
LS/APA
