Co-initié par le Centre régional d’assistance technique du Fonds monétaire international pour l’Afrique (AFRITAC) de l’Ouest et l’AFRITAC du Centre, ce séminaire réunit durant cinq jours les ordonnateurs, comptables, contrôleurs financiers ainsi que des parlementaires de 18 pays des zones UEMOA et CEMAC. Il vise, entre autres, à sensibiliser les acteurs de la dépense publique sur les prérequis à la mise en place de la déconcentration de l’ordonnancement des dépenses, définir les conditions et les modalités de mise en œuvre de la déconcentration de l’ordonnancement des dépenses et expliquer les nouveaux rôles desdits acteurs.
La directrice d’AFRITAC de l’Ouest, Mme Malangu Kabedi, a souligné la nécessité d’arrimer l’exécution des dépenses publiques aux normes internationales. « Les défis de la gouvernance financière dépassent largement les compétences d’un seul ministère doté d’un statut d’opérateur unique et seul habilité à engager financièrement l’Etat face aux défis multiformes et aux attentes plurielles des populations », a indiqué Mme Malangu.
Les nouveaux cadres juridiques des finances publiques adoptés par les Etats membres d’AFRITAC de l’Ouest et du Centre ont conduit à des réformes dites de seconde génération qui induisent une révolution dans la façon de penser, d’organiser et de gérer les finances publiques. Ce séminaire offre « un cadre idoine pour mettre en œuvre le devoir de solidarité qui nous oblige en pareille situation à nous asseoir ensemble, à réfléchir et à échanger sur nos expériences respectives de manière à pouvoir tirer le meilleur profit des échecs et des réussites des pays ayant une longue tradition de cette pratique », a fait remarquer le représentant du ministre auprès du Premier ministre chargé du Budget, Karim Traoré, relevant que la Côte d’Ivoire a réalisé des progrès dans l’ordonnancement des dépenses publiques.
(AIP)
Kkf/kp
La directrice d’AFRITAC de l’Ouest, Mme Malangu Kabedi, a souligné la nécessité d’arrimer l’exécution des dépenses publiques aux normes internationales. « Les défis de la gouvernance financière dépassent largement les compétences d’un seul ministère doté d’un statut d’opérateur unique et seul habilité à engager financièrement l’Etat face aux défis multiformes et aux attentes plurielles des populations », a indiqué Mme Malangu.
Les nouveaux cadres juridiques des finances publiques adoptés par les Etats membres d’AFRITAC de l’Ouest et du Centre ont conduit à des réformes dites de seconde génération qui induisent une révolution dans la façon de penser, d’organiser et de gérer les finances publiques. Ce séminaire offre « un cadre idoine pour mettre en œuvre le devoir de solidarité qui nous oblige en pareille situation à nous asseoir ensemble, à réfléchir et à échanger sur nos expériences respectives de manière à pouvoir tirer le meilleur profit des échecs et des réussites des pays ayant une longue tradition de cette pratique », a fait remarquer le représentant du ministre auprès du Premier ministre chargé du Budget, Karim Traoré, relevant que la Côte d’Ivoire a réalisé des progrès dans l’ordonnancement des dépenses publiques.
(AIP)
Kkf/kp