La responsable juridique du Service d’aide et d’assistance aux réfugiés et apatrides (SAARA) du ministère ivoirien des Affaires étrangères, Thérèse Dekassan, a indiqué mercredi à Abidjan que l’amélioration de la situation sécuritaire en Côte d’Ivoire constitue un facteur favorisant pour le retour au pays des Ivoiriens qui s’étaient réfugiés dans des pays limitrophes au plus fort de la crise post-électorale.
"L’environnement sécuritaire s’est amélioré, l’autorité de l’Etat a été rétabli, la Côte d’Ivoire est en marche et nous avons exhorté les réfugiés ivoiriens à revenir pour prendre leur part dans la reconstruction du pays", a déclaré Mme Dekassan lors d’un entretien avec des médias.
Selon Mme Dekassan, le récent retour du Libéria d’une vague d’environ 400 réfugiés ivoiriens dans la région de Guiglo (ouest) fait suite à un accord multipartite entre le gouvernement ivoirien, le gouvernement libérien, le Haut-Commissariat des Nations-unies pour les réfugiés (HCR), la Mission des Nations-unies et les réfugiés eux-mêmes.
"Nous les avons convaincus à rentrer au pays. Les élections présidentielles se sont bien déroulées, le président de la République a mis en place de grandes infrastructures, les conditions sont ainsi réunies pour retourner au pays", a-t-elle insisté.
"Notre préoccupation, c’est que le retour se passe dans de bonnes conditions, qu’il se déroule et dans la dignité ", a relevé Mme Dekassan, notant que les réfugiés sont effectivement pris en charge dès leur retour.
La crise post-électorale, qui a secoué le pays en 2010 et 2011, a fait au moins 3.000 morts et un million de déplacés. Environ 300. 000 Ivoiriens avaient pris le chemin de l’exil. A plusieurs occasions, le président ivoirien Alassane Ouattara a rappelé à ses compatriotes en exil que la guerre est finie et que le pays est pacifié, les appelant à revenir au bercail.
Pour lui, il convient pour les acteurs nationaux et internationaux de mutualiser leurs efforts et d’oeuvrer de manière synergique pour que les Ivoiriens réfugiés et exilés regagnent le pays, afin qu’ils viennent participer au processus de cohésion sociale, de reconstruction et de relance économique post-crise.
"L’environnement sécuritaire s’est amélioré, l’autorité de l’Etat a été rétabli, la Côte d’Ivoire est en marche et nous avons exhorté les réfugiés ivoiriens à revenir pour prendre leur part dans la reconstruction du pays", a déclaré Mme Dekassan lors d’un entretien avec des médias.
Selon Mme Dekassan, le récent retour du Libéria d’une vague d’environ 400 réfugiés ivoiriens dans la région de Guiglo (ouest) fait suite à un accord multipartite entre le gouvernement ivoirien, le gouvernement libérien, le Haut-Commissariat des Nations-unies pour les réfugiés (HCR), la Mission des Nations-unies et les réfugiés eux-mêmes.
"Nous les avons convaincus à rentrer au pays. Les élections présidentielles se sont bien déroulées, le président de la République a mis en place de grandes infrastructures, les conditions sont ainsi réunies pour retourner au pays", a-t-elle insisté.
"Notre préoccupation, c’est que le retour se passe dans de bonnes conditions, qu’il se déroule et dans la dignité ", a relevé Mme Dekassan, notant que les réfugiés sont effectivement pris en charge dès leur retour.
La crise post-électorale, qui a secoué le pays en 2010 et 2011, a fait au moins 3.000 morts et un million de déplacés. Environ 300. 000 Ivoiriens avaient pris le chemin de l’exil. A plusieurs occasions, le président ivoirien Alassane Ouattara a rappelé à ses compatriotes en exil que la guerre est finie et que le pays est pacifié, les appelant à revenir au bercail.
Pour lui, il convient pour les acteurs nationaux et internationaux de mutualiser leurs efforts et d’oeuvrer de manière synergique pour que les Ivoiriens réfugiés et exilés regagnent le pays, afin qu’ils viennent participer au processus de cohésion sociale, de reconstruction et de relance économique post-crise.