Ferkessédougou - Des parents d’élèves du Lycée moderne de Ferkessédougou ont le sommeil trouble après la publication par leurs progénitures, de photos indécentes sur les réseaux sociaux , a appris l’AIP.
Des enseignants du Lycée moderne de Ferkessédougou témoignent avoir découvert des photos de filles issues des classes de Cinquième, âgées de 15 ans pour la plupart, quasiment nues, dans un décor de maisons closes, de boîtes de nuit et de bars climatisés, sur les réseaux sociaux.
Un professeur de Français, Traoré Ardjouma, qui a alerté la direction de l’établissement après la découverte de ces photos, témoigne que ces élèves mineures fréquentent assidûment des lieux de divertissement dans la ville, à des heures indues et publient leurs indélicatesses sur internet.
Convoqués lundi par la direction du Lycée moderne de Ferkessédougou face aux agissements de leurs enfants, les parents des élèves concernés ont clamé leur étonnement devant ces actes déshonorants, tandis que certains sont restés dubitatifs, a constaté l’AIP. L’adjoint au chef d’établissement Yssoufou Coulibaly, s’explique difficilement ces actes qui ternissent l’image de l’établissement.
ti/nmfa/akn/cmas
Des enseignants du Lycée moderne de Ferkessédougou témoignent avoir découvert des photos de filles issues des classes de Cinquième, âgées de 15 ans pour la plupart, quasiment nues, dans un décor de maisons closes, de boîtes de nuit et de bars climatisés, sur les réseaux sociaux.
Un professeur de Français, Traoré Ardjouma, qui a alerté la direction de l’établissement après la découverte de ces photos, témoigne que ces élèves mineures fréquentent assidûment des lieux de divertissement dans la ville, à des heures indues et publient leurs indélicatesses sur internet.
Convoqués lundi par la direction du Lycée moderne de Ferkessédougou face aux agissements de leurs enfants, les parents des élèves concernés ont clamé leur étonnement devant ces actes déshonorants, tandis que certains sont restés dubitatifs, a constaté l’AIP. L’adjoint au chef d’établissement Yssoufou Coulibaly, s’explique difficilement ces actes qui ternissent l’image de l’établissement.
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