Prévue sur trois jours, la conférence internationale sur l’observation spatiale pour la gestion durable des forêts et des terres en Afrique Centrale et de l’Ouest (Osfaco) a débuté le mardi 26 janvier 2016 dans un réceptif hôtelier à Cocody, en présence de Georges Serre, l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, et Allah Kouadio Rémi, le ministre ivoirien de l’Environnement et du Développent durable.
Osfaco s’inscrit dans le cadre du projet Geofrorafri, un système satellitaire mis en place pour lutter contre le dérèglement climatique et la déforestation. Ledit projet vise à favoriser l’adoption et la maitrise méthodologique et technique des données satellitaires d’observation de la terre. Selon le diplomate Georges Serre, d’un montant de 5 millions d’euros (3,250 milliards de FCFA), le projet Osfaco permettra à 3 pays d’Afrique de l’Ouest (Guinée, Côte d’Ivoire et Bénin) et 5 pays d’Afrique centrale (Cameroun, Centrafrique, Congo, RDC et Gabon), d’avoir à disposition, des images satellitaires de haute résolution Spot, en archive et en acquisition, sur l’ensemble des superficies des pays concernés, pour tous les utilisateurs impliqués dans l’aménagement durable du territoire et la gestion durable des forêts de ces 8 pays. « Pour la Côte d’Ivoire, les bénéfices du projet Osfaco seront de disposer d’une couverture complète du pays en SPOT 6 et 7 à 1,5m de résolution avec toutes les images orthorectifiées qui devraient être disponibles pour les utilisateurs d’ici fin 2O16. De plus, l’ensemble des archives Spot 1986 à 2010 seront ainsi mis à disposition », a révélé le diplomate.
Quant à Allah Kouadio Rémi, le ministre de l’Environnement et du Développement durable, il a souligné que c’était une opportunité pour la Côte d’Ivoire d’abriter une conférence de cette envergure sur une thématique aussi importante que l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour la gestion durable des forêts ». Poursuivant, il a expliqué que « la gestion durable de la forêt peut contribuer efficacement à la lutte globale contre les changements climatiques, comme l’ont démontré les nombreuses publications du Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’Evolution du Climat (GIEC) ».
RB
Osfaco s’inscrit dans le cadre du projet Geofrorafri, un système satellitaire mis en place pour lutter contre le dérèglement climatique et la déforestation. Ledit projet vise à favoriser l’adoption et la maitrise méthodologique et technique des données satellitaires d’observation de la terre. Selon le diplomate Georges Serre, d’un montant de 5 millions d’euros (3,250 milliards de FCFA), le projet Osfaco permettra à 3 pays d’Afrique de l’Ouest (Guinée, Côte d’Ivoire et Bénin) et 5 pays d’Afrique centrale (Cameroun, Centrafrique, Congo, RDC et Gabon), d’avoir à disposition, des images satellitaires de haute résolution Spot, en archive et en acquisition, sur l’ensemble des superficies des pays concernés, pour tous les utilisateurs impliqués dans l’aménagement durable du territoire et la gestion durable des forêts de ces 8 pays. « Pour la Côte d’Ivoire, les bénéfices du projet Osfaco seront de disposer d’une couverture complète du pays en SPOT 6 et 7 à 1,5m de résolution avec toutes les images orthorectifiées qui devraient être disponibles pour les utilisateurs d’ici fin 2O16. De plus, l’ensemble des archives Spot 1986 à 2010 seront ainsi mis à disposition », a révélé le diplomate.
Quant à Allah Kouadio Rémi, le ministre de l’Environnement et du Développement durable, il a souligné que c’était une opportunité pour la Côte d’Ivoire d’abriter une conférence de cette envergure sur une thématique aussi importante que l’utilisation de l’imagerie satellitaire pour la gestion durable des forêts ». Poursuivant, il a expliqué que « la gestion durable de la forêt peut contribuer efficacement à la lutte globale contre les changements climatiques, comme l’ont démontré les nombreuses publications du Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’Evolution du Climat (GIEC) ».
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