Dabou, Le préfet de Dabou (sud), Kouakou Assoman, a invité mardi, au cours d’une rencontre, les populations de Tiaha, village situé à 17 kilomètres de la commune à s’entendre et résoudre définitivement le problème de chefferie qui se pose dans leur localité, en choisissant un chef.
‘’Entendez-vous pour nous proposer une seule personne’’, a conseillé le préfet qui a en outre proposé pour bientôt une médiation conduite par le comité des sages du Leboutou.
Pour l’un des porte-paroles des villageois, Akpa Dominique, « ce sont les égos des uns et des autres qui entravent la désignation d’un nouveau chef », après l’abrogation de l’intérim, il y a une année, de l’ancien chef Adou Adia Jean-Baptiste.
Deux camps, en l’occurrence celui de Yédé Dagri Abraham et celui de Deh Lasme Enock, se disputent la chefferie de Tiaha, aucun d’entre eux ne se montrant prêts à faire de concession malgré de nombreuses conciliations menées par le sous-préfet de Dabou, Ouattara Dominique.
Selon l’arrêté No 3206/BP du 10 octobre 1932 portant constitution de l’administration indigène en Côte d’Ivoire, en son article 4, ‘’le chef de village est nommé par le préfet sur la proposition du collège des notables du village réunis en commission villageoise’’. Ce, après avoir procédé à une consultation populaire pour s’assurer de la véracité du choix opéré dans le procès-verbal de désignation, a-t-on relevé.
(AIP)
kkp/tm
‘’Entendez-vous pour nous proposer une seule personne’’, a conseillé le préfet qui a en outre proposé pour bientôt une médiation conduite par le comité des sages du Leboutou.
Pour l’un des porte-paroles des villageois, Akpa Dominique, « ce sont les égos des uns et des autres qui entravent la désignation d’un nouveau chef », après l’abrogation de l’intérim, il y a une année, de l’ancien chef Adou Adia Jean-Baptiste.
Deux camps, en l’occurrence celui de Yédé Dagri Abraham et celui de Deh Lasme Enock, se disputent la chefferie de Tiaha, aucun d’entre eux ne se montrant prêts à faire de concession malgré de nombreuses conciliations menées par le sous-préfet de Dabou, Ouattara Dominique.
Selon l’arrêté No 3206/BP du 10 octobre 1932 portant constitution de l’administration indigène en Côte d’Ivoire, en son article 4, ‘’le chef de village est nommé par le préfet sur la proposition du collège des notables du village réunis en commission villageoise’’. Ce, après avoir procédé à une consultation populaire pour s’assurer de la véracité du choix opéré dans le procès-verbal de désignation, a-t-on relevé.
(AIP)
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