Bouaké - Un système d’information et de commercialisation électronique baptisé "E-edjasso", initié par le Bureau de vente des producteurs (BVP) dans le cadre de sa politique de valorisation des produits vivriers, a été présenté officiellement vendredi à Bouaké, lors de l’assemblée générale ordinaire de la structure.
Le concepteur, Djanh Yao, a indiqué que le système "E-edjasso" du BVP répond aux défis de gestion du producteur à tant qu’acteur de développement. A ce niveau, il générera des statistiques sur les productions, les superficies mises en valeur, les revenus des producteurs, le village, la société coopérative, la ville et le département.
De plus, le producteur pourra accéder à des prêts auprès des établissements financiers grâce aux données financières que le système offrira sur lui. Par ailleurs, à travers des SMS, le système permettra de gérer la distribution des intrants, de traiter d’autres informations et aidera les producteurs à être en contact les uns avec les autres.
"La contrainte majeure du producteur, c’est qu’il produit avec la peur au ventre. C’est-à-dire, il ne sait même pas si son produit sera payé ou pas", a souligné, le directeur du BVP, N’Guessan Alexis. Il promet que cette innovation réglera ce problème, ajoutant qu’à travers cette application, le producteur produira désormais ce qui peut lui rapporter de l’argent et il sait en avance ce qu’il va avoir.
(AIP)
nbf/cmas
Le concepteur, Djanh Yao, a indiqué que le système "E-edjasso" du BVP répond aux défis de gestion du producteur à tant qu’acteur de développement. A ce niveau, il générera des statistiques sur les productions, les superficies mises en valeur, les revenus des producteurs, le village, la société coopérative, la ville et le département.
De plus, le producteur pourra accéder à des prêts auprès des établissements financiers grâce aux données financières que le système offrira sur lui. Par ailleurs, à travers des SMS, le système permettra de gérer la distribution des intrants, de traiter d’autres informations et aidera les producteurs à être en contact les uns avec les autres.
"La contrainte majeure du producteur, c’est qu’il produit avec la peur au ventre. C’est-à-dire, il ne sait même pas si son produit sera payé ou pas", a souligné, le directeur du BVP, N’Guessan Alexis. Il promet que cette innovation réglera ce problème, ajoutant qu’à travers cette application, le producteur produira désormais ce qui peut lui rapporter de l’argent et il sait en avance ce qu’il va avoir.
(AIP)
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