La réforme du Centre régional de formation pour l’entretien routier (CERFER) devrait coûter 1,8 milliard sur 10 ans aux pays membres du Conseil de l’entente, a appris APA, mercredi, lors d’un entretien avec Dr Ouro Djobo Samah, Directeur général du CERFER.
La 9è réunion du Comité des experts qui précède la 8è réunion du Conseil des ministres du Conseil de l'Entente s'est ouverte, mercredi, à Abidjan avec comme ordre du jour les reformes en cours au CERFER et la question cruciale de l'identification de source de financement alternative.
Le CERFER forme les techniciens dans deux domaines : celui du génie civil et du génie mécanique. Selon Dr Ouro Djobo, il faut aller au-delà de la formation de ces techniciens pour aller vers l'excellence et pour lui, «l'excellence c'est qu'on doit former un produit tout à fait productif et il faut des moyens de production pour pouvoir faire cela ».
« Il y a quelques aérés de cotisation de la part des Etats membres mais l'ensemble du financement tourne autour de 1,8 milliard FCFA pour pouvoir mettre en marche toutes les reformes », a-t-il expliqué, signalant que « c'est progressif, c'est très progressif ».
«Le plan du développement stratégique est fait pour 10 ans. Nous avons besoin en moyenne de 300 à 400 millions FCFA par ans pour installer certaine choses», a-t-il ajouté, précisant que « les aérés des Etat s'élèvent à près de 850 millions FCFA ».
Le Niger, le Burkina et la Côte d'ivoire ne sont pas à jour de leur cotisation pour laquelle un plan d'apurement a été soumis à tous ces Etats.
« A la sortie de cette réunion le CERFER attend un appuis de la part des ministres pour le financement de ces reformes parce que lors du sommet des chefs d'Etats du décembre 2012, ceux-ci avaient décidé que le CERFER devienne un centre d'excellence pour les métiers de la route et pour le chemin de fer » a conclu le Directeur de ce Centre.
Le Conseil de l'Entente est une organisation de coopération régionale d'Afrique de l'Ouest, à finalité principalement économique, créée en mai 1959.Les pays fondateurs sont le Dahomey (actuel Bénin), la Haute-Volta (actuel Burkina Faso), la Côte d'Ivoire et le Niger. Ils ont été rejoints par le Togo en 1966.
MC/ls/APA
La 9è réunion du Comité des experts qui précède la 8è réunion du Conseil des ministres du Conseil de l'Entente s'est ouverte, mercredi, à Abidjan avec comme ordre du jour les reformes en cours au CERFER et la question cruciale de l'identification de source de financement alternative.
Le CERFER forme les techniciens dans deux domaines : celui du génie civil et du génie mécanique. Selon Dr Ouro Djobo, il faut aller au-delà de la formation de ces techniciens pour aller vers l'excellence et pour lui, «l'excellence c'est qu'on doit former un produit tout à fait productif et il faut des moyens de production pour pouvoir faire cela ».
« Il y a quelques aérés de cotisation de la part des Etats membres mais l'ensemble du financement tourne autour de 1,8 milliard FCFA pour pouvoir mettre en marche toutes les reformes », a-t-il expliqué, signalant que « c'est progressif, c'est très progressif ».
«Le plan du développement stratégique est fait pour 10 ans. Nous avons besoin en moyenne de 300 à 400 millions FCFA par ans pour installer certaine choses», a-t-il ajouté, précisant que « les aérés des Etat s'élèvent à près de 850 millions FCFA ».
Le Niger, le Burkina et la Côte d'ivoire ne sont pas à jour de leur cotisation pour laquelle un plan d'apurement a été soumis à tous ces Etats.
« A la sortie de cette réunion le CERFER attend un appuis de la part des ministres pour le financement de ces reformes parce que lors du sommet des chefs d'Etats du décembre 2012, ceux-ci avaient décidé que le CERFER devienne un centre d'excellence pour les métiers de la route et pour le chemin de fer » a conclu le Directeur de ce Centre.
Le Conseil de l'Entente est une organisation de coopération régionale d'Afrique de l'Ouest, à finalité principalement économique, créée en mai 1959.Les pays fondateurs sont le Dahomey (actuel Bénin), la Haute-Volta (actuel Burkina Faso), la Côte d'Ivoire et le Niger. Ils ont été rejoints par le Togo en 1966.
MC/ls/APA