Le conseil des ministres tenu ce mercredi 10 février a fixé le prix d’achat de la noix de cajou à 375 FCFA le kilogramme pour la campagne 2016 qui s’ouvre ce 15 février.
Selon le porte-parole du gouvernement ivoirien, le ministre Bruno Koné, il s’agit d’« un prix plancher » pour les achats « bord champ ».
La noix de cajou confirme ainsi son statut de « cacao » de la partie nord de la Côte d’Ivoire avec des cours en hausse. Le prix d’achat bord champ enregistre un bond de 75 francs, soit 27 % de plus par rapport aux 275 FCFA proposés en 2015. Une année faste au cours de laquelle les paysans avaient obtenu des acheteurs des prix records allant jusqu’à 700 francs le kilo, dans certaines parties du pays. 2015 est aussi l’année où le pays a porté sa production à un peu plus de 700 000 tonnes, devenant le premier producteur mondial devant l’Inde.
Dans son intervention, Bruno Koné a signifié que les producteurs avaient été rétribués à hauteur de 288 milliards FCFA contre 169 milliards FCFA en 2014.
Le défi de la filière ivoirienne de noix de cajou reste la transformation. Avec un niveau d’usinage de moins de 10% de son offre en 2014, le gouvernement ambitionne transformer la totalité de la production d’ici 2020.
Selon le porte-parole du gouvernement ivoirien, le ministre Bruno Koné, il s’agit d’« un prix plancher » pour les achats « bord champ ».
La noix de cajou confirme ainsi son statut de « cacao » de la partie nord de la Côte d’Ivoire avec des cours en hausse. Le prix d’achat bord champ enregistre un bond de 75 francs, soit 27 % de plus par rapport aux 275 FCFA proposés en 2015. Une année faste au cours de laquelle les paysans avaient obtenu des acheteurs des prix records allant jusqu’à 700 francs le kilo, dans certaines parties du pays. 2015 est aussi l’année où le pays a porté sa production à un peu plus de 700 000 tonnes, devenant le premier producteur mondial devant l’Inde.
Dans son intervention, Bruno Koné a signifié que les producteurs avaient été rétribués à hauteur de 288 milliards FCFA contre 169 milliards FCFA en 2014.
Le défi de la filière ivoirienne de noix de cajou reste la transformation. Avec un niveau d’usinage de moins de 10% de son offre en 2014, le gouvernement ambitionne transformer la totalité de la production d’ici 2020.