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Le ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Administration, Pascal Abinan Kouakou a procédé ce jeudi, à l’Ecole nationale d’Administration (ENA), au lancement de l’étude sur l’état du Service public en Côte d’Ivoire.
Cette étude s’inscrit dans un cadre global d’Etude de l’état du service public en Afrique (SOPSA) conformément aux recommandations de la Conférence des ministres Africains de la Fonction publique (UA-CAMPS), demandant au Réseau africain des Institutions d’Administration publique/Ecoles Nationales d’Administration, d’entreprendre une étude pour évaluer les capacités des services publics africains à fournir des prestations de qualité aux usagers et à soutenir le développement.
Un cadre stratégique de la réforme administrative a été élaboré à cet effet. Il s’articule autour de principaux domaines d’intervention que sont l’organisation administrative, la gestion de la Fonction publique, la gestion économique et financière, la décentralisation et le cadre institutionnel et le Système de Gouvernance.
L’Ecole nationale d’Administration (ENA), maitresse d’œuvre au niveau national de la conduite de ce projet, a élaboré son propre plan stratégique, mobilise les parties prenantes et les ressources sur trois secteurs clés que sont, Eau-Assainissement, Education de base et santé et VIH/SIDA.
Le directeur Général de l’ENA, Traoré Salamata s’est félicité que ce soit l’ENA au niveau national conduira ce projet, dont l’intérêt est de doter la Côte d’Ivoire d’une Administration compétitive. « Ce projet permettra d’accélérer la modernisation de notre Administration et d’améliorer la qualité de la Gouvernance », a-t-elle affirmé. Cette étude qui est un enjeu majeur pour la Côte d’Ivoire requiert de l’ENA un engagement sans faille et sans complaisance, une détermination sans aucune mesure pour le succès de l’opération, a tenu à expliquer Traoré Salamata.
Le ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Administration, Pascal Abinan Kouakou, ému de retrouver l’ENA dont il est issu de la promotion 1978-1979, a insisté sur la portée de cette étude qui devra à termes, contribuer au renforcement de la qualité de la gouvernance et du capital humain, à la transformation de l’économie et la création d’emploi, au développement d’infrastructures, puis enfin au renforcement de l’intégration régionale et de la coopération internationale.
Les résultats de cette étude sont attendus pour fin mars, ont indiqué les consultants en charge de conduire l’étude.
Elisée B.
Cette étude s’inscrit dans un cadre global d’Etude de l’état du service public en Afrique (SOPSA) conformément aux recommandations de la Conférence des ministres Africains de la Fonction publique (UA-CAMPS), demandant au Réseau africain des Institutions d’Administration publique/Ecoles Nationales d’Administration, d’entreprendre une étude pour évaluer les capacités des services publics africains à fournir des prestations de qualité aux usagers et à soutenir le développement.
Un cadre stratégique de la réforme administrative a été élaboré à cet effet. Il s’articule autour de principaux domaines d’intervention que sont l’organisation administrative, la gestion de la Fonction publique, la gestion économique et financière, la décentralisation et le cadre institutionnel et le Système de Gouvernance.
L’Ecole nationale d’Administration (ENA), maitresse d’œuvre au niveau national de la conduite de ce projet, a élaboré son propre plan stratégique, mobilise les parties prenantes et les ressources sur trois secteurs clés que sont, Eau-Assainissement, Education de base et santé et VIH/SIDA.
Le directeur Général de l’ENA, Traoré Salamata s’est félicité que ce soit l’ENA au niveau national conduira ce projet, dont l’intérêt est de doter la Côte d’Ivoire d’une Administration compétitive. « Ce projet permettra d’accélérer la modernisation de notre Administration et d’améliorer la qualité de la Gouvernance », a-t-elle affirmé. Cette étude qui est un enjeu majeur pour la Côte d’Ivoire requiert de l’ENA un engagement sans faille et sans complaisance, une détermination sans aucune mesure pour le succès de l’opération, a tenu à expliquer Traoré Salamata.
Le ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Administration, Pascal Abinan Kouakou, ému de retrouver l’ENA dont il est issu de la promotion 1978-1979, a insisté sur la portée de cette étude qui devra à termes, contribuer au renforcement de la qualité de la gouvernance et du capital humain, à la transformation de l’économie et la création d’emploi, au développement d’infrastructures, puis enfin au renforcement de l’intégration régionale et de la coopération internationale.
Les résultats de cette étude sont attendus pour fin mars, ont indiqué les consultants en charge de conduire l’étude.
Elisée B.
