Abidjan (Côte d’Ivoire) - La ministre de la promotion de la femme, de la famille et de la protection de l’enfant, Euphrasie Kouassi Yao a tracé, jeudi, à Abidjan avec les acteurs des domaines de la femme, de la famille et de la protection de l’enfant issus des Organisations de la société civile (OSC), les sillons de l’amélioration de l’indice du développement social.
«La rencontre de ce jour s’inscrit dans le cadre d’un exercice qui fera désormais partie de la culture organisationnelle de mon département ministériel nous permettra tous ensemble, de tracer les sillons de l’amélioration de l’indice du développement social de notre pays », a déclaré la ministre Euphrasie Kouassi Yao au cours d’une rencontre dans les locaux du district d’Abidjan.
« En effet, j’ai décidé durant ma présence à la tête de ce ministère, de bâtir avec vous, partenaires stratégiques et opérationnels, un cadre d’intervention fédérateur », a-t-elle ajouté.
Cette tribune a permis de recueillir les aspirations des populations de Côte d’Ivoire et celles des organisations militant en faveur de la famille, de la femme et de l’enfant, selon une démarche participative, en vue d’une action qui se veut efficace, efficiente et optimale.
« Conformément à ma politique de proximité, je compte prendre appui sur les préoccupations exprimées de vive voix. Nous allons, à partir des informations données, bâtir une stratégie qui va tenir compte des besoins réels de la base », a promis Mme Yao devant ses interlocuteurs.
Selon elle, elle aucune action durable ne peut être entreprise sans la participation des femmes, une participation à la fois active et décisive pour la défense de leurs droits.
Mme Yao a par ailleurs rappelé que le second mandat du Président Alassane Ouattara repose sur cinq piliers notamment le renforcement des institutions pour la paix et la bonne gouvernance, la transformation de l’économie, l’amélioration des conditions de vie, la promotion de la Jeunesse et de la Femme et l’émergence d’un ivoirien nouveau.
« Contrairement aux années antérieures, la promotion de la femme figure au nombre des principales priorités du Gouvernement », a souligné Mme Yao qui avait à ses côtés ses collègues de la Solidarité, de la cohésion sociale et de l’indemnisation des victimes Mariatou Koné et Colette Badjo en charge des Droits de l’homme.
LS/APA
«La rencontre de ce jour s’inscrit dans le cadre d’un exercice qui fera désormais partie de la culture organisationnelle de mon département ministériel nous permettra tous ensemble, de tracer les sillons de l’amélioration de l’indice du développement social de notre pays », a déclaré la ministre Euphrasie Kouassi Yao au cours d’une rencontre dans les locaux du district d’Abidjan.
« En effet, j’ai décidé durant ma présence à la tête de ce ministère, de bâtir avec vous, partenaires stratégiques et opérationnels, un cadre d’intervention fédérateur », a-t-elle ajouté.
Cette tribune a permis de recueillir les aspirations des populations de Côte d’Ivoire et celles des organisations militant en faveur de la famille, de la femme et de l’enfant, selon une démarche participative, en vue d’une action qui se veut efficace, efficiente et optimale.
« Conformément à ma politique de proximité, je compte prendre appui sur les préoccupations exprimées de vive voix. Nous allons, à partir des informations données, bâtir une stratégie qui va tenir compte des besoins réels de la base », a promis Mme Yao devant ses interlocuteurs.
Selon elle, elle aucune action durable ne peut être entreprise sans la participation des femmes, une participation à la fois active et décisive pour la défense de leurs droits.
Mme Yao a par ailleurs rappelé que le second mandat du Président Alassane Ouattara repose sur cinq piliers notamment le renforcement des institutions pour la paix et la bonne gouvernance, la transformation de l’économie, l’amélioration des conditions de vie, la promotion de la Jeunesse et de la Femme et l’émergence d’un ivoirien nouveau.
« Contrairement aux années antérieures, la promotion de la femme figure au nombre des principales priorités du Gouvernement », a souligné Mme Yao qui avait à ses côtés ses collègues de la Solidarité, de la cohésion sociale et de l’indemnisation des victimes Mariatou Koné et Colette Badjo en charge des Droits de l’homme.
LS/APA