Abidjan - Le ministre en charge de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Paul Koffi Koffi, poursuivant sa série de visite des structures sous sa tutelle, s’est s’imprégné ce mardi, des réalités de la direction de la certification des examens et concours (DCEC).
Selon le ministre, il est question pour lui de maîtriser tous les facteurs visant à améliorer la qualité de la formation dans ce secteur de l’éducation. « C’est important parce que tout ce que nous faisons concoure à aboutir à former des hommes et des femmes qui entrent dans nos établissements soient par concours, soit par examen et il est important de venir nous assurer que le dispositif est opérationnel et qu’il est bien maîtrisé », a-t-il indiqué.
« Nous avons constaté que le dispositif ici est informatisé je voulais féliciter l’équipe qui a fait ce travail d’informatisation, les enregistrements se font en ligne ainsi que quelque fois même les sujets voire même certaine correction. J’ai donné des consignes pour qu’on arrive même pourquoi pas à faire des corrections en ligne, à faire le choix des sujets en ligne, à produire les documents en ligne pour que les uns et les autres puissent avoir directement ces éléments », s’est félicité Paul Koffi Koffi.
Pour le directeur de la certification des examens et concours (DCEC), Akaffou Atsé Casimir Eric, la visite de son ministre de tutelle, augure de bonnes perspectives pour sa structure qui selon lui manque de moyens en dépit de l’intérêt que suscite la formation professionnelle auprès des jeunes. « Nos difficultés actuelles sont l’insuffisance de moyens, de budget mis à disposition. Aujourd’hui les jeunes sont beaucoup intéressés par la formation professionnelle, il y a engouement. En 2015, on était à 16500 candidats et aujourd’hui nous sommes à près de 18000 candidats cela dénote un peu de l’intérêt que les jeunes accordent à la formation professionnelle, surtout que c’est la seule formation qui donne directement un métier », a-t-il signifié.
« Le ministre nous a présenté sa vision de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, vision qui est en phase avec les stratégies élaborées par les groupes techniques, coordonné par la Task Force sectorielle. Cela est un gage de succès de la politique que nous sommes entrain d’élaborer sur la période 2016-2025 mais également un gage de réussite pour la politique de scolarisation obligatoire qui est une des mesures phares du chef de l’Etat aujourd’hui et qui vont permettre à notre pays de pouvoir être un pays émergent en 2020 », a pour sa part estimé le Coordonnateur de la Task force sectorielle, Mamadou Binaté.
gak/kam
Selon le ministre, il est question pour lui de maîtriser tous les facteurs visant à améliorer la qualité de la formation dans ce secteur de l’éducation. « C’est important parce que tout ce que nous faisons concoure à aboutir à former des hommes et des femmes qui entrent dans nos établissements soient par concours, soit par examen et il est important de venir nous assurer que le dispositif est opérationnel et qu’il est bien maîtrisé », a-t-il indiqué.
« Nous avons constaté que le dispositif ici est informatisé je voulais féliciter l’équipe qui a fait ce travail d’informatisation, les enregistrements se font en ligne ainsi que quelque fois même les sujets voire même certaine correction. J’ai donné des consignes pour qu’on arrive même pourquoi pas à faire des corrections en ligne, à faire le choix des sujets en ligne, à produire les documents en ligne pour que les uns et les autres puissent avoir directement ces éléments », s’est félicité Paul Koffi Koffi.
Pour le directeur de la certification des examens et concours (DCEC), Akaffou Atsé Casimir Eric, la visite de son ministre de tutelle, augure de bonnes perspectives pour sa structure qui selon lui manque de moyens en dépit de l’intérêt que suscite la formation professionnelle auprès des jeunes. « Nos difficultés actuelles sont l’insuffisance de moyens, de budget mis à disposition. Aujourd’hui les jeunes sont beaucoup intéressés par la formation professionnelle, il y a engouement. En 2015, on était à 16500 candidats et aujourd’hui nous sommes à près de 18000 candidats cela dénote un peu de l’intérêt que les jeunes accordent à la formation professionnelle, surtout que c’est la seule formation qui donne directement un métier », a-t-il signifié.
« Le ministre nous a présenté sa vision de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, vision qui est en phase avec les stratégies élaborées par les groupes techniques, coordonné par la Task Force sectorielle. Cela est un gage de succès de la politique que nous sommes entrain d’élaborer sur la période 2016-2025 mais également un gage de réussite pour la politique de scolarisation obligatoire qui est une des mesures phares du chef de l’Etat aujourd’hui et qui vont permettre à notre pays de pouvoir être un pays émergent en 2020 », a pour sa part estimé le Coordonnateur de la Task force sectorielle, Mamadou Binaté.
gak/kam