Le gouvernement ivoirien a appelé mercredi "au strict respect" des mesures en vigueur concernant l’"accès des groupes sociaux" aux médias publics et privés "après des dérives" dans les annonces publicitaires, a indiqué son porte-parole Bruno Koné, après un conseil des ministres.
"Le conseil a appelé à une application stricte des dispositions légales en vigueur qui encadrent l’accès de ces groupes sociaux aux médias publics et privés", a relevé M.Koné.
Cette mesure fait suite à l’interdiction de toute publicité liée à la médecine traditionnelle et la suspension des annonces publicitaires religieuses à la télévision publique.
"Des dérives importantes ont été notées dans les médias publics et privés", a-t-il déploré, précisant que "ces dérives viennent des religieux, tradi-praticiens, responsables d’ONG et associations qui sur ces médias se livrent à des prêches, publicités mensongères et propagandes".
Le gouvernement a recommandé aux organes, d’"exiger désormais des documents administratifs établissant l’existence juridique", de ces groupes et de "créer un espace de communication pour la diffusion des spots et autres films de promotion après un strict contrôle" en vue de "réduire les risques de dérapage".
Fin janvier, le gouvernement a interdit aux tradi-praticiens "tout acte de publicité dans l'exercice de leur art" et l’usage du "titre de docteur, professeur ou de tout autre titre de la médecine conventionnelle".
EFI
"Le conseil a appelé à une application stricte des dispositions légales en vigueur qui encadrent l’accès de ces groupes sociaux aux médias publics et privés", a relevé M.Koné.
Cette mesure fait suite à l’interdiction de toute publicité liée à la médecine traditionnelle et la suspension des annonces publicitaires religieuses à la télévision publique.
"Des dérives importantes ont été notées dans les médias publics et privés", a-t-il déploré, précisant que "ces dérives viennent des religieux, tradi-praticiens, responsables d’ONG et associations qui sur ces médias se livrent à des prêches, publicités mensongères et propagandes".
Le gouvernement a recommandé aux organes, d’"exiger désormais des documents administratifs établissant l’existence juridique", de ces groupes et de "créer un espace de communication pour la diffusion des spots et autres films de promotion après un strict contrôle" en vue de "réduire les risques de dérapage".
Fin janvier, le gouvernement a interdit aux tradi-praticiens "tout acte de publicité dans l'exercice de leur art" et l’usage du "titre de docteur, professeur ou de tout autre titre de la médecine conventionnelle".
EFI