Poursuivi pour complicité d'assassinat du général Robert Guéi, l’ex-commandant de la garde républicaine ivoirienne, Bruno Dogbo Blé, a invité jeudi les enfants de l'ancien chef d'Etat au "pardon", au tribunal militaire d'Abidjan.
"Je voudrais dire aux enfants du général Guéi que leur père leur a laissé (...) son nom (une) richesse qui ne se mesure pas (...). et à cause de ce nom il faut qu'ils prennent toujours de la hauteur", a déclaré le Colonel Dogbo avant de leur demander de s’éloigner "des cercles des revanchards et des opportunistes".
"De toute façon (...) un surcroît de haine n'a jamais effacé la haine. Ce qui efface la haine, C'est le pardon. Je les invite donc au pardon", a-t-il ajouté, précisant que ses propos ne sont pas motivés par la volonté d'"éviter la prison" car il a été "déjà condamné deux fois".
L'ancien commandant de la garde républicaine a par ailleurs assuré au président du tribunal, Tahirou Dembele, qu'il est disposé à accepter "toutes les décisions" qu'il prendra. "Si je dois aller en prison j'irai mais sachez que rien ne restera dans mon coeur", a-t-il souligné.
Le général Robert Guéi, son épouse et des membres de sa garde rapprochée ont été assassinés le 19 septembre 2002, à l'occasion d'un coup d'Etat manqué.
Une vingtaine de personnes, dont Bruno Dogbo Blé et l'ancien aide de camp de l'ex Première dame Simone Gbagbo, le capaine Anselme Yapo Séka, sont poursuivis pour assassinat et complicité d'assassinat.
Le tribunal s'est retiré aux environs de 10h35 min GMT pour les délibérations.
"Je voudrais dire aux enfants du général Guéi que leur père leur a laissé (...) son nom (une) richesse qui ne se mesure pas (...). A cause de ce nom il faut qu'ils prennent toujours de la hauteur", a déclaré le Colonel Dogbo avant de leur demander de s’éloigner "des cercles des revanchards et des opportunistes".
"De toute façon (...) un surcroît de haine n'a jamais effacé la haine. Ce qui efface la haine, C'est le pardon. Je les invite donc au pardon", a-t-il ajouté, précisant que ses propos ne sont pas motivés par la volonté d'"éviter la prison" car il a été "déjà condamné deux fois".
L'ancien commandant de la garde républicaine a par ailleurs assuré au président du tribunal, Tahirou Dembele, qu'il est disposé à accepter "toutes les décisions" qu'il prendra. "Si je dois aller en prison, j'irai, mais sachez que rien ne restera dans mon coeur", a-t-il souligné.
Le général Robert Guéi, son épouse et des membres de sa garde rapprochée ont été assassinés le 19 septembre 2002, à l'occasion d'un coup d'Etat manqué.
Une vingtaine de personnes, dont Bruno Dogbo Blé et l'ancien aide de camp de l'ex-Première dame Simone Gbagbo, le capitaine Anselme Yapo Séka, sont poursuivis pour assassinat et complicité d'assassinat.
Le tribunal s'est retiré aux environs de 10h35 minutes GMT pour les délibérations.
MYA
"Je voudrais dire aux enfants du général Guéi que leur père leur a laissé (...) son nom (une) richesse qui ne se mesure pas (...). et à cause de ce nom il faut qu'ils prennent toujours de la hauteur", a déclaré le Colonel Dogbo avant de leur demander de s’éloigner "des cercles des revanchards et des opportunistes".
"De toute façon (...) un surcroît de haine n'a jamais effacé la haine. Ce qui efface la haine, C'est le pardon. Je les invite donc au pardon", a-t-il ajouté, précisant que ses propos ne sont pas motivés par la volonté d'"éviter la prison" car il a été "déjà condamné deux fois".
L'ancien commandant de la garde républicaine a par ailleurs assuré au président du tribunal, Tahirou Dembele, qu'il est disposé à accepter "toutes les décisions" qu'il prendra. "Si je dois aller en prison j'irai mais sachez que rien ne restera dans mon coeur", a-t-il souligné.
Le général Robert Guéi, son épouse et des membres de sa garde rapprochée ont été assassinés le 19 septembre 2002, à l'occasion d'un coup d'Etat manqué.
Une vingtaine de personnes, dont Bruno Dogbo Blé et l'ancien aide de camp de l'ex Première dame Simone Gbagbo, le capaine Anselme Yapo Séka, sont poursuivis pour assassinat et complicité d'assassinat.
Le tribunal s'est retiré aux environs de 10h35 min GMT pour les délibérations.
"Je voudrais dire aux enfants du général Guéi que leur père leur a laissé (...) son nom (une) richesse qui ne se mesure pas (...). A cause de ce nom il faut qu'ils prennent toujours de la hauteur", a déclaré le Colonel Dogbo avant de leur demander de s’éloigner "des cercles des revanchards et des opportunistes".
"De toute façon (...) un surcroît de haine n'a jamais effacé la haine. Ce qui efface la haine, C'est le pardon. Je les invite donc au pardon", a-t-il ajouté, précisant que ses propos ne sont pas motivés par la volonté d'"éviter la prison" car il a été "déjà condamné deux fois".
L'ancien commandant de la garde républicaine a par ailleurs assuré au président du tribunal, Tahirou Dembele, qu'il est disposé à accepter "toutes les décisions" qu'il prendra. "Si je dois aller en prison, j'irai, mais sachez que rien ne restera dans mon coeur", a-t-il souligné.
Le général Robert Guéi, son épouse et des membres de sa garde rapprochée ont été assassinés le 19 septembre 2002, à l'occasion d'un coup d'Etat manqué.
Une vingtaine de personnes, dont Bruno Dogbo Blé et l'ancien aide de camp de l'ex-Première dame Simone Gbagbo, le capitaine Anselme Yapo Séka, sont poursuivis pour assassinat et complicité d'assassinat.
Le tribunal s'est retiré aux environs de 10h35 minutes GMT pour les délibérations.
MYA