Abidjan - Le ministre de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Paul Koffi Koffi et la confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), par le biais de son président Jean Kacou Diagou ont convenu mercredi, lors d’une rencontre à la maison des chefs d’entreprises à Abidjan, d’œuvrer pour l’aboutissement de la réforme du secteur de la formation, pour le rendre plus dynamique et conforme à la préoccupation des entreprises.
« Nous avons abordé la question de l’accélération de la réforme qui a débuté depuis 2009, il faut qu’elle s’achève pour qu’elle soit mise en œuvre. Pour le financement de la formation professionnelle, nous avons rassuré le président Diagou. Nous allons rouvrir les dossiers pour voir quels sont les engagements qui ont été pris par les uns et les autres et puis revenir ensemble pour trouver les meilleures solutions », a indiqué Paul Koffi Koffi en marge de la rencontre avec les chefs d’entreprises qui selon lui, sont des partenaires privilégiés.
Selon le ministre, il est impérieux que l’enseignement technique et la formation professionnelle soient « pourvoyeuses d’une main d’œuvre qualifiée pour la Côte d’ivoire émergente parce que les entreprises ont besoin pour leur croissance, d’avoir une main d’œuvre bien formée dans des filières qui sont porteuses ».
Le président de la confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Jean Kacou Diagou a salué la vison de son hôte qui est de faire en sorte que la formation professionnelle et l’enseignement technique puissent participer activement à accélérer l’économie ivoirienne, au demeurant, l’émergence de la Côte d’Ivoire.
« Le ministre nous a rassuré sur les différentes réformes qui ont eu lieu et qui n’ont pas encore abouti. Nous allons ensemble faire en sorte que cela aboutisse et que l’enseignement professionnel trouve son lustre d’antan parce que dans le passé la Côte d’Ivoire était un pôle attractif dans l’enseignement technique qui comme le ministre l’a dit, ne doit pas être un enseignement de seconde zone. C’est plutôt des gens performants, de hautes qualités qui doivent aller à l’enseignement technique », a fait savoir M. Diagou.
gak/akn/kam
« Nous avons abordé la question de l’accélération de la réforme qui a débuté depuis 2009, il faut qu’elle s’achève pour qu’elle soit mise en œuvre. Pour le financement de la formation professionnelle, nous avons rassuré le président Diagou. Nous allons rouvrir les dossiers pour voir quels sont les engagements qui ont été pris par les uns et les autres et puis revenir ensemble pour trouver les meilleures solutions », a indiqué Paul Koffi Koffi en marge de la rencontre avec les chefs d’entreprises qui selon lui, sont des partenaires privilégiés.
Selon le ministre, il est impérieux que l’enseignement technique et la formation professionnelle soient « pourvoyeuses d’une main d’œuvre qualifiée pour la Côte d’ivoire émergente parce que les entreprises ont besoin pour leur croissance, d’avoir une main d’œuvre bien formée dans des filières qui sont porteuses ».
Le président de la confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Jean Kacou Diagou a salué la vison de son hôte qui est de faire en sorte que la formation professionnelle et l’enseignement technique puissent participer activement à accélérer l’économie ivoirienne, au demeurant, l’émergence de la Côte d’Ivoire.
« Le ministre nous a rassuré sur les différentes réformes qui ont eu lieu et qui n’ont pas encore abouti. Nous allons ensemble faire en sorte que cela aboutisse et que l’enseignement professionnel trouve son lustre d’antan parce que dans le passé la Côte d’Ivoire était un pôle attractif dans l’enseignement technique qui comme le ministre l’a dit, ne doit pas être un enseignement de seconde zone. C’est plutôt des gens performants, de hautes qualités qui doivent aller à l’enseignement technique », a fait savoir M. Diagou.
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